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Mis à jour: 26 juillet 2025
Cy, devant Dieu, fais congnoissance Que creature feusse morte, Ne fust vostre doulce naissance, En charité puissant et forte, Qui ressuscite et reconforte, Ce que mort avoit prins pour sien; Vostre presence me conforte, On doit dire du bien le bien.
Ne tarissez jamais la source de vos pleurs, Que leur eau n'ait plûtost fait une mer du Tybre, Et noyé, s'il se peut, ces hydres de malheurs, Qui font que vostre Estat va cesser d'estre libre. Les Tyrans sont vainqueurs, tout l'Estat est perdus, La liberté se meurt, Rome s'en va la suivre, Et pour comble de mal, le grand Brute n'est plus. Un Heros peut mourir, & Straton pourroit vivre?
Est ce tout ce que m'apportez A vostre jour? Saint Valentin, N'auray je que d'Espoir butin, L'actente des desconfortez. Petitement vous m'enhortez D'estre joyeulx
«Le surintendant, écrit-il, ne pouvant rembourser Vostre
Pour le don que m'avez donné, Dont tres grant gré vous doy savoir, J'ay congneu vostre bon vouloir, Qui vous sera bien guerdonné. Raison l'a ainsi ordonné, Bienfait doit plaisir recevoir. Pour le don, etc. Dont tres, etc. Mon cueur se tient emprisonné, Et obligé, pour dire voir, Jusqu'
«Paris, 21 juillet 1669. «Je vous avoue que j'ay esté surpris de voir, par vostre lettre du 15 de ce mois, que vostre négociation auprès du roy d'Angleterre et de M. le duc d'Yorck, sur le sujet des saluts, n'ayt abouti qu'
Or n'oubliez pas, Monseigneur, Vostre tres humble serviteur; Mais escoutez mes dolans plains, Desquieulx je vous fais la clameur, Et vueillez, par vostre doulceur, Que par vous ilz soient estains, Car croiez qu'ilz ne sont pas fains, Ains pires avant plus que mains; Puis me donnez, de vostre grace, Je vous en pry
Tout le premier veu ordinaire De ceans est obedience L'autre povreté voluntaire Dont viennent junes et penitance Pour vertus avons pacience Et chasteté qui est la plus haulte Sy jurés a vostre consience De les garder sans point de faulte
«Que vous este heureux, monsieur le maréchal, vous este avec le Roy, que vostre ritournelle est malheureuse, elle est éloigné du roy, vous allé voit le Roy toute la journée, moy je ne le verré peut-estre que dans cinq mois, c'est bien affreux, mais vous ne me plainderé pas, car vous avez bien autre chose
Les affaires de la Royne d'Escoce demeurent en suspens, attandant la déclaration que Monsieur, frère de Vostre Majesté, envoyera sur le tiltre de ce royaulme, et cependant s'entend que le Sr. Ledinthon s'apreste de venir d'Escoce de la part du comte de Mora, lequel comte monstre,
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