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Mis à jour: 25 juillet 2025
En Bretagne, le métier était un de ceux que les lépreux pouvaient exercer; les tonneliers portent encore le nom de cacous, et ils passent, en certaines localités, pour descendre de cette race maudite. Au milieu de ce siècle, dans le Finistère, le peuple conservait pour eux, d'après M. de la Villemarqué, une sorte d'aversion et de mépris héréditaires. Il est probable que, depuis, les préventions dont ils étaient l'objet ont beaucoup diminué. En Haute-Bretagne je n'ai pas constaté la même répulsion, et je ne connais aucun dicton injurieux
Nous voici bien loin de notre humble Berry, où j'ai pourtant retrouvé, dans la mémoire des chanteurs rustiques, plusieurs romances et ballades, exactement traduites en vers naïfs et bien berrichons, des textes bretons publiés par M. de la Villemarqué. Revendiquerons-nous la propriété de ces créations, et dirons-nous qu'elles ont été traduites du berrichon dans la langue bretonne? Non.
LES TONNELIERS. De Lamare, Traité de la police, IV, 664. H. de la Villemarqué, Barzaz-Breiz, 454. Revue des Traditions populaires, X, 30, 158. Monteil, L'Industrie française, I, 237. La Mosaïque, 1874, 166. C. Moiset, Croyances de l'Yonne, 108. F. Daleau, Superstitions de la Gironde, 38. L.-F. Sauvé, Lavarou Koz. A. Coffignon, L'Estomac de Paris, 314. Paris ridicule, 304.
Je parcourais précisément, ces jours passés, le volume de La Villemarqué sur notre enchanteur Merlin et sur sa douce amie, ta marraine, Viviane, qui, par parenthèse, était passablement curieuse et fantasque: et savez-vous quelle réflexion je faisais, moi, sur ces temps légendaires? Laquelle?
Nous voici bien loin de notre humble Berry, où j'ai pourtant retrouvé, dans la mémoire des chanteurs rustiques, plusieurs romances et ballades exactement traduites, en vers naïfs et bien berrichons, des textes bretons publiés par M. de la Villemarqué. Revendiquerons-nous la propriété de ces créations, et dirons-nous qu'elles ont été traduites du berrichon dans la langue bretonne? Non.
Tout le monde connaît le Barzaz-Breiz, chants populaires de la Bretagne, publiés par M. de la Villemarqué. Nous en détachons une seule pièce, les Fleurs de mai, douce et touchante élégie, composée par deux jeunes soeurs paysannes, et traduite avec naïveté et grâce en vers français par M.
Le Berry a sa musique, mais il n'a pas sa littérature, ou bien elle s'est perdue comme aurait pu se perdre la poésie bretonne si M. de la Villemarqué ne l'eût recueillie
[Note 1: Il y a quelques années, une fête de ce genre fut donnée par un savant breton, M. de la Villemarqué, qui,
Ce sont eux qui passent pour être les auteurs des chansons grivoises et de celles qui offrent des traits piquants d'actualité. Le meunier, dit M. de la Villemarqué, traverse les villes, les bourgs, les villages, il visite le pauvre et le riche; il se trouve aux foires et aux marchés; il apprend les nouvelles, il les rime et les chante en cheminant, et sa chanson, répétée par les mendiants, les porte bientôt d'un bout de la Bretagne
«Revêtus de leurs haillons les plus propres, dit La Villemarqué, ils mangent les restes du festin de la veille; la nouvelle mariée, la jupe retroussée, sert elle-même les femmes, et son mari les hommes. Au second service, celui-ci offre le bras
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