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Mis à jour: 1 mai 2025
Depuis lors, Praxi-Blassans menait bien des choses, et, en particulier, l'affaire de l'Empereur-Roi. On le voyait en butte aux obsessions de monsignori verbeux, sourieurs, de petits nobles florentins vieillis par les angoisses de l'intrigue. Il était rare que Talleyrand ne vînt pas traîner son pied bot aux réceptions d'Aurélie, ou du colonel Lyrisse. Avec le tabac, il puisait dans sa tabatière les mots d'esprit, se dérobait par des plaisanteries souvent grivoises aux indiscrétions des émissaires étrangers, et revenait près d'Aurélie, de Mme Héricourt pour énoncer quelque madrigal
C'est un lettré de province et un bel esprit d'arrondissement, un de ceux qui traduisent Horace, goûtent les petits vers de Voltaire et savent par coeur Vert-Vert ainsi que les poésies grivoises de Parny. Il prononce: Allons, Monsieur Potel, appelez les affaires. Puis souriant, il murmure: Quidquid tentabam dicere versus erat.
Développons alors les arts de la paix, essayait de dire le poëte Lorenzo; créons une académie, des jeux Floraux. Mais le ministre des beaux-arts et des belles-lettres était un joyeux compère qui n'aimait pas l'ennui et qui, sous prétexte de bibliothèque, faisait collection de toutes les oeuvres grivoises de l'Italie.
En littérature, il connaissait M. de Béranger, et le mettait sans hésiter au-dessus d'Horace, qu'il n'avait jamais lu, et aussi Désaugiers, dont il savait plusieurs chansons grivoises. C'était
Ce sont eux qui passent pour être les auteurs des chansons grivoises et de celles qui offrent des traits piquants d'actualité. Le meunier, dit M. de la Villemarqué, traverse les villes, les bourgs, les villages, il visite le pauvre et le riche; il se trouve aux foires et aux marchés; il apprend les nouvelles, il les rime et les chante en cheminant, et sa chanson, répétée par les mendiants, les porte bientôt d'un bout de la Bretagne
J'ai entendu ce qu'en a dit le maréchal, mais je ne sais pas ce qu'elle en a dit elle-même; dis, mon fils, dis, tu racontes si bien, du moins les anecdotes grivoises.
Ce n'est pas tout. Il y a, au fond des anciennes chansons écossaises, une veine de plaisanteries gaillardes et grivoises, parfois un peu grasses, mais pleines de gaîté et de bonhomie. Elles rappellent singulièrement notre gauloiserie. C'est le même rire goguenard, bon enfant et réjoui, sur les mêmes sujets qu'on devine. Ce sont de ces histoires ou ces plaisanteries salées qu'on se raconte avec un clin d'oeil et un coup de coude. Elles sont plus drues et plus gaies dans les chansons écossaises que dans celles des Anglais. Peut-être un fonds de joyeuseté celtique, peut-être l'influence française, en sont-elles la cause? Même
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