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Mis à jour: 8 octobre 2025
Il y a des découvreurs patentés de ces supercheries musicales. Ils l'ont depuis longtemps prouvé: Orphée n'est pas de Gluck, le Devin du village n'est pas de Rousseau, la Vestale n'est pas de Spontini, la Marseillaise n'est pas de Rouget de l'Isle, enfin certaines gens vont jusqu'
« Oh! dis-moi l'élégie de la Vestale, mon amour, tu sais: Toi que je laisse sur la terre, Mortel que je n'ose nommer . «Chantée par toi, cette prodigieuse inspiration doit être d'un sublime inouï. Je ne sais comment je ne te l'ai pas encore demandée. Chante, chante-moi Spontini; que j'obtienne tous les bonheurs ensemble!
Un vendredi, jour férié pour les spectres et les revenants, vers onze heures du soir, le goguelin faisait sa tournée. La circonstance était favorable; le fanal de la sainte-barbe venait de s'éteindre en exhalant une puante odeur d'huile de poisson. Le canonnier, vestale très-masculine préposée
Il y a, non pas des fautes involontaires, mais quelques duretés d'harmonie faites avec intention dans Cortez; je ne vois que de très-magnifiques hardiesses en ce genre dans Olympie. Seulement, l'orchestre si richement sobre de la Vestale se complique dans Cortez, et se surcharge de dessins divers et inutiles dans Olympie, au point de rendre parfois l'instrumentation lourde et confuse.
Spontini dans la Vestale, dans Cortez et Olympie, écrivit même des rôles de ténor que les chanteurs actuels trouvent trop bas.
Chaque jour on découvre dans sa maîtresse un charme nouveau, une volupté inconnue. L'existence n'est plus que l'accomplissement réitéré d'un désir continu, l'âme n'est plus que la vestale chargée d'entretenir le feu sacré de l'amour.
Dévorant son désappointement, Adolphe retournait tristement chez lui, quand le hasard lui fit rencontrer un de ses compatriotes, auquel il avait autrefois donné des leçons de violon. Celui-ci, riche amateur, fort répandu dans le monde musical, s'empressa d'informer son maître de tout ce qui s'y passait et lui apprit que les représentations de la Vestale, suspendues par l'indisposition de madame Branchu, ne seraient vraisemblablement reprises que dans quelques semaines. Les ouvrages de Gluck eux-mêmes, quoique formant habituellement le fond du répertoire de l'Opéra, n'y figurèrent pas pendant les premiers temps du séjour d'Adolphe
«Fi! le monstre! l'horrible tyran!» se sont écriées, après ces dures nuits d'épreuve, et Mme Branchu, la Vestale de l'Opéra, et Mlles Duchesnois, Thérèse Bourgoin, Leverd, du Théâtre-Français, et les dames de la cour, qu'avait paru distinguer un instant le caprice impérial.
Si vous lisez la Gazette musicale et les Débats, vous devez être au courant de tout ce qui se fait chez nous en musique, cet hiver. Je ne vous en parlerai donc pas. Dimanche dernier, soit dit seulement en passant, Spontini, avec son second acte de la Vestale, a tellement enthousiasmé et bouleversé le public du Conservatoire que nous ressemblions
OBERON. Eh bien! dans le temps, je vis (mais tu ne pus le voir, toi) Cupidon tout armé voler entre la froide lune et la terre: il visa au coeur d'une charmante Vestale, assise sur un trône d'Occident; il décocha de son arc un trait d'amour bien acéré, comme s'il eût voulu percer d'un seul coup cent mille coeurs. Mais je vis la flèche enflammée du jeune Cupidon s'éteindre dans les humides rayons de la chaste lune, et la prêtresse couronnée, le coeur libre, continua sa marche, plongée dans ses pensées virginales . Je remarquai où vint tomber le trait de Cupidon; il tomba sur une petite fleur d'Occident. Auparavant elle était blanche comme le lait, depuis elle est pourpre par la blessure de l'amour; et les jeunes filles l'appellent pensée : va me chercher cette fleur. Je te l'ai montrée une fois. Son suc, exprimé sur les paupières endormies d'un homme ou d'une femme, les rend amoureux fous de la première créature vivante qui s'offre
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