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Chaque mère qui apportait son nourrisson était toujours accompagnée de deux personnes de sa famille. Je prononçais les paroles sacramentelles, je versais l'eau sur la tête de l'enfant, puis j'articulais

Ma consternation fut si grande, que je versais des larmes en descendant l'escalier, sans savoir encore de quel sentiment elles partaient. J'entrai dans le premier café et m'y étant assis près d'une table, j'appuyai la tête sur mes deux mains pour y développer ce qui se passait dans mon coeur. Je n'osais rappeler ce que je venais d'entendre. Je voulais le considérer comme une illusion, et je fus prêt deux ou trois fois de retourner au logis, sans marquer que j'y eusse fait attention. Il me paraissait si impossible que Manon m'eût trahi, que je craignais de lui faire injure en la soupçonnant. Je l'adorais, cela était sûr; je ne lui avais pas donné plus de preuves d'amour que je n'en avais reçu d'elle; pourquoi l'aurais-je accusée d'être moins sincère et moins constante que moi? Quelle raison aurait-elle eue de me tromper? Il n'y avait que trois heures qu'elle m'avait accablé de ses plus tendres caresses et qu'elle avait reçu les miennes avec transport; je ne connaissais pas mieux mon coeur que le sien. Non, non, repris-je, il n'est pas possible que Manon me trahisse. Elle n'ignore pas que je ne vis que pour elle. Elle sait trop bien que je l'adore. Ce n'est pas l

Après bien des baisers et des caresses, il m'a prise dans ses bras et m'a portée sur le pied du lit en promenant ses mains partout il a voulu, d'autant que je m'y prêtais sans feindre aucune résistance. Enfin, m'ayant penchée sur le lit, il m'a enfoncé son vit qu'il avait mouillé de salive; mais quelle douleur ne m'a-t-il pas faite; ce vit, d'une grosseur énorme, me déchirait; je n'osai crier, j'en versais des larmes. Il tâchait de me consoler en m'embrassant et en m'assurant qu'une seconde fois je n'aurais plus que du plaisir. Il me trompait: il y revint et ma douleur fut aussi vive, je souffrais tout ce qu'on peut endurer. Il s'y présenta une troisième fois; je ne voulais plus y consentir; il me pressa si fort, en y joignant tant de baisers et de caresses, que je ne pus lui refuser. Il s'y prit si doucement et avec tant de précautions que je croyais ne plus endurer un tel tourment, mais il fut presque le même. Ces vives souffrances que j'ai ressenties, jointes

À ces derniers mots, que je ne prononçai qu'avec un effort, je m'évanouis; une sueur froide dont je me sentis saisi par tout le corps glaça les larmes que je versais abondamment, et je ne revins qu'

C'est le 12 avril 1814 que j'eus la jouissance de voir entrer M. le comte d'Artois dans Paris. Il m'est impossible de décrire les douces sensations que ce jour me fit éprouver; je versais des larmes de joie, de bonheur. On sait assez avec quel enthousiasme la grande majorité des Parisiens reçut nos princes. Comme on demandait

Monsieur Lepic: Ote-la, mon garçon. Poil de Carotte: Elle y est trop avant, je ne peux pas la toucher. Je l'entends qu'elle bourdonne. Monsieur Lepic: Laisse-la mourir toute seule. Poil de Carotte: Mais si elle pondait, papa, si elle faisait son nid? Monsieur Lepic: Tâche de la tuer avec une corne de mouchoir. Poil de Carotte: Si je versais un peu d'eau-de-vie pour la noyer?

Le 3 octobre, une lettre de Custine annonçait que Spire avait été arrachée aux Autrichiens. France de la Révolution, tu étais digne de vaincre! Sans toi, que fût devenue l'Europe? Tu combattais sans doute pour ta propre conservation, mais aussi pour le salut du monde. Tu versais

Par conséquent, si tu te laissais tenter par les ennemis de la République, si tu versais dans la trahison, tu serais châtié comme un homme. Les menaces ne sont pas nécessaires pour m'inciter

Pendant les deux ou trois premières heures qui suivirent le moment de mon départ, j'éprouvais une violente agitation et je versais des larmes abondantes. Mais bientôt mon esprit se créa des sophismes propres