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Mis à jour: 3 juin 2025


«Si j'étais sa femme, pensait-elle, les richesses, les villas, les musées des Ruspoli, des Doria, des Torlonia, des Borghèse, des Chiara m'écraseraient. Je suis ambitieuse et vaniteuse par-dessus tout. Et dire qu'on aime une pareille créature, parce qu'on ne la connaît pas! Si on la connaissait, cette créature... Ah! baste! on l'aimerait tout de mêmeSe montrer, paraître, briller, voil

Certes, si ce grand poëte, au lieu de naître dans une nation vaniteuse de rhétoriciens et d'artistes, comme les Grecs, était dans une nation de pasteurs, de prêtres, de prophètes, comme les Hébreux; s'il avait vécu la vie du berger de Bethléem, d'abord gardien de brebis dans les lieux déserts, joueur de flûte aux échos des rochers de son pays, barde d'un roi qu'il assoupissait aux sons de sa harpe, sauveur d'un peuple par sa fronde, proscrit de caverne en caverne avec une bande d'aventuriers, puis le héros populaire de sa nation, puis roi, tantôt triomphant, tantôt détrôné de l'inconstant Israël, puis couvert de cendre sur sa couche de douleur, noyé dans les larmes de sa pénitence, et n'ayant de refuge, comme les colombes dans les creux des rochers d'Engaddi, que dans la miséricorde de Jéhova qui avait exalté sa jeunesse; si Pindare, disons-nous, avait eu toutes ces conditions inouïes du génie lyrique du fils d'Isaï, il aurait peut-être donné

Mademoiselle Aki était une jeune fille de dix-sept ans. Ses parents l'avaient gâtée. Comme toutes les jeunes filles qui sont gâtées par leurs parents, elle était vaniteuse, capricieuse et méchante. Elle avait un très vilain défaut. Aki était voleuse. Elle volait partout, elle volait toujours, elle volait tant qu'elle pouvait. Et, chose assez curieuse, elle ne se faisait jamais prendre.

Madame D'Aucheron, qui n'était pas moins vaniteuse que son mari, approuva en tous points les projets nouveaux qu'on faisait miroiter

A quarante-deux ans, plus que mûr et passablement fripé, il s'était cru très amoureux, par pur snobisme, de la fille d'un de ses camarades de cercle, le marquis de Neufontaine, vieux chat teint, joueur comme les cartes, qui, sans la compassion vaniteuse de M. Godefroy, eût été plus d'une fois affiché au club. Ce gentilhomme effondré, mais toujours très chic, et qui venait encore de «lancer» ne casquette pour bains de mer, fut trop heureux de devenir le beau-père d'un homme qui payerait ses dettes, et livra sans scrupule au banquier fatigué une ingénue de dix-sept ans, d'une beauté suave et frêle, sortant d'un couvent de province, et n'ayant pour dot que son trousseau de pensionnaire et qu'un trésor de préjugés aristocratiques et d'illusions romanesques. M. Godefroy, fils d'un avoué grippe-sou des Andelys, était resté «peuple» même fort vulgaire, malgré son fabuleux avancement dans la hiérarchie sociale. Il blessa tout de suite sa jeune femme dans toutes ses délicatesses; et les choses allaient mal tourner, quand la pauvre enfant fut emportée,

La vie est trop pesante et pleine, Hélas! de travail et de peine, De maux, de querelles, de deuil, Des sottes femmes par l'orgueil, Qui cherchent occasions maintes, Par leurs requêtes et leurs plaintes Et leur babil sempiternel, De nous causer ennui mortel. Combattre et vaincre leur folie, Les garder, c'est peine inouïe! Qui veut femme pauvre choisir, S'il la prend, c'est pour la nourrir Et lui donner robe et chaussure; Et si, par ambition pure, La prend riche, il a grand tourment A la supporter seulement; Tant il la trouve dédaigneuse, Fière, hautaine et vaniteuse, Que son mari ne prisera Rien, et partout méprisera Ses parents et tout son lignage, Par son outrecuidant langage. Est-elle belle? tous d'accourir, La suivre, flatter et servir; Tous y heurtent, tous y travaillent, Tous y luttent, tous y bataillent; C'est

La vaniteuse, il faut la voir, Elle veut robe neuve avoir; De mille nuances, pour plaire, Robe superbe sait se faire, Avec l'herbe verte, des fleurs Mariant les belles couleurs. C'est cette robe que la terre, A mon avis, toujours préfère.

Sire, dit-il, la vieillesse est vaniteuse, et il faut bien pardonner aux vieillards de faire leur éloge que personne ne fait plus. Je disais cela, c'est possible; mais le fait est, Sire, que je suis très fatigué et que je demande ma retraite.

Que l'on éprouve cette critique sur les principaux romans de cette seconde période. C'est vers 1840, avec le Compagnon du tour de France, que le système arrive et que le socialisme entre en campagne. Certes il y a des parties charmantes dans ce roman, des types et des situations saisis avec art. Le fond de l'oeuvre est, ou du moins devrait être, le contraste de l'amour généreux et vraiment grand de Pierre Huguenin, avec la passion vaniteuse et sensuelle d'Amaury, l'un dévouant l'ardeur de sa chaste pensée

Une foule d'avantages, conséquence de sa brillante position, ne produisaient chez lui d'autre effet que de lui donner de l'humeur. Son frère cette âme vaniteuse et gangrenée par le plus vii égoïsme, lui écrivit une lettre de congratulation presque officielle, et

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huancas

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