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De ce jour, en effet, le poëte-roi est frappé par la main de Jéhova dans sa vieillesse; il est témoin des déchirements de sa maison, des outrages de ses enfants

Ce cadre simple et peu original renferme de très belles descriptions de la nature et surtout des pensées sublimes qui font de la pièce une des perles de la poésie hébraïque. L'idée dominante de cette œuvre, c'est la glorification de Jéhova et l'admiration des «merveilles innombrables du Créateur».

Il entonnera la grande Trompette pour amener le Sauveur; la plante du juste croîtra sur la terre; Jéhova guérira leur misère, rétablira les brèches. Lorsque Jéhova règnera, toute la terre se réjouira!...

On sait que le Temple n'était pas seulement la maison du Dieu Jéhova, mais l'habitation d'une foule innombrable de lévites, de prêtres, de pontifes, de prophètes, habitant, avec leurs familles consacrées, les immenses dépendances, portiques, cours, jardins, séminaires dont il était entouré.

Quand vous dormiez dans la caverne je n'ai point voulu porter ma main sur vous!... «Oui, je vois que tu es meilleur que moirépondit Saül. «Tu régneras certainement sur Israël! Jure-moi seulement par Jéhova que tu ne feras pas périr ma famille après moi! que tu n'effaceras pas mon nom de la maison de mon pèreEt David jura. Puis il remonta sur les hauts lieux avec ses compagnons de guerre.

La vertu de ce drame est de n'avoir pas d'amour; cette passion eût été déplacée dans le Temple; ce sont les grandes et saintes passions divines qu'on veut y voir et y entendre. L'ombre visible de Jéhova eût fait pâlir toutes les autres. Un amour ici eût été une petitesse et une profanation. Mais comme les autres passions divines y parlent une langue supérieure aux langueurs de la passion des sens! La maternité dans Josabeth, le courage dans Abner, l'héroïsme dans le grand-prêtre, la haine dans Athalie, l'ambition dans Mathan, l'innocence et la foi dans

«Tu es bon avec les bons! «Tu es juste avec les justes! «Tu es pur avec les purs! «Tu allumes toi-même la lampe dans mon âme, Jéhova! tu fais resplendir mes ténèbres! «Quel autre Dieu y a-t-il que Jéhovah? «Quel autre rocher que lui? «Il égale la vitesse de mes pieds aux pieds des biches! «Il me transporte sur les hauteurs inaccessibles des montagnes! «Il solidifie mes muscles pour le combat,

Les chefs amènent leurs fils, les premiers nés, les plus beaux, les plus forts, devant le prophète. Il les écarte l'un après l'autre au nom de Jéhova. Enfin un chef de pasteurs, un père de famille, nommé Isaï, de Bethléem, lui amène ses sept fils; ils sont rejetés. «Et le prêtre dit

Les prophètes étaient donc non-seulement des poëtes, des inspirés, mais des tribuns sacrés qui enseignaient le peuple par la parole, qui réchauffaient, qui l'entraînaient par l'éloquence. Seulement, dans ce peuple de l'enthousiasme, l'éloquence et la poésie fondus ensemble n'étaient qu'une seule puissance, la puissance de la parole inspirée ou de ce qu'on appelle la parole de Dieu! La langue, imagée, mais monotone comme la solitude, était oratoire et éloquente comme la liberté. C'était de l'arabe concentré, une langue forte et brève, qui n'exposait pas la pensée, mais qui la lançait au ciel ou aux hommes. On voyait qu'elle avait été construite, comme celle de Job, pour un dialogue quelquefois familier, quelquefois âpre et terrible, entre la foudre humaine et la foudre divine. C'était par conséquent l'idiome le plus lyrique qu'un poëte pût trouver tout préparé pour lui; car tout homme inspiré était prophète, tout le peuple était choeur, et Jéhova lui-même prenait la parole

Raphaël! le premier et le plus beau des enfans de Dieu, depuis quand existe-t-il une loi pour les anges d'abandonner la terre? la terre, dont plusieurs fois les pas de Jéhova ne dédaignèrent pas le sol!