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Mis à jour: 30 avril 2025
C'était le jardin qui avait voulu la faute. Pendant des semaines, il s'était prêté au lent apprentissage de leur tendresse. Puis, au dernier jour, il venait de les conduire dans l'alcôve verte. Maintenant, il était le tentateur, dont toutes les voix enseignaient l'amour. Du parterre, arrivaient des odeurs de fleurs pâmées, un long chuchotement, qui contait les noces des roses, les voluptés des violettes; et jamais les sollicitations des héliotropes n'avaient eu une ardeur plus sensuelle. Du verger, c'étaient des bouffées de fruits mûrs que le vent apportait, une senteur grasse de fécondité, la vanille des abricots, le musc des oranges. Les prairies élevaient une voix plus profonde, faite des soupirs des millions d'herbes que le soleil baisait, large plainte d'une foule innombrable en rut, qu'attendrissaient les caresses fraîches des rivières, les nudités des eaux courantes, au bord desquelles les saules rêvaient tout haut de désir. La forêt soufflait la passion géante des chênes, les chants d'orgue des hautes futaies, une musique solennelle, menant le mariage des frênes, des bouleaux, des charmes, des platanes, au fond des sanctuaires de feuillage; tandis que les buissons, les jeunes taillis étaient pleins d'une polissonnerie adorable, d'un vacarme d'amants se poursuivant, se jetant au bord des fossés, se volant le plaisir, au milieu d'un grand froissement de branches. Et, dans cet accouplement du parc entier, les étreintes les plus rudes s'entendaient au loin, sur les roches, l
Les Aréoïs enseignaient que les sacrifices humains sont agréables aux Dieux et sacrifiaient eux-mêmes, dans les maraës, tous leurs enfants sauf le premier-né: ce rite sanglant était symbolisé par les sept cochons de la légende, qui sont tous mis
Les prophètes étaient donc non-seulement des poëtes, des inspirés, mais des tribuns sacrés qui enseignaient le peuple par la parole, qui réchauffaient, qui l'entraînaient par l'éloquence. Seulement, dans ce peuple de l'enthousiasme, l'éloquence et la poésie fondus ensemble n'étaient qu'une seule puissance, la puissance de la parole inspirée ou de ce qu'on appelle la parole de Dieu! La langue, imagée, mais monotone comme la solitude, était oratoire et éloquente comme la liberté. C'était de l'arabe concentré, une langue forte et brève, qui n'exposait pas la pensée, mais qui la lançait au ciel ou aux hommes. On voyait qu'elle avait été construite, comme celle de Job, pour un dialogue quelquefois familier, quelquefois âpre et terrible, entre la foudre humaine et la foudre divine. C'était par conséquent l'idiome le plus lyrique qu'un poëte pût trouver tout préparé pour lui; car tout homme inspiré était prophète, tout le peuple était choeur, et Jéhova lui-même prenait la parole
Deux frères, natifs de Chio, Euthydème et Dionysodore, enseignaient que «nulle affirmation ne peut être un mensonge.» La grande recette de leur art, comme maîtres d'éloquence, était l'emploi de l'équivoque et des déductions trompeuses.
En dehors de ces horribles sacrifices humains, imposés par la religion, la population aztèque avait des moeurs douces; les mères aimaient leurs enfants, les pères leur enseignaient les règles de morale, le respect et l'obéissance. Ils pleuraient longtemps leurs morts, et étaient très hospitaliers. Ils cultivaient la terre et exerçaient divers métiers.
Le jaloux Citharède, orgueil du ciel hellène, De son plectre de fer a brisé tes roseaux Qui, domptant les lions, enseignaient les oiseaux; Il ne reste plus rien du chanteur de Célène. Rien qu'un lambeau sanglant qui flotte au tronc de l'if Auquel on l'a lié pour l'écorcher tout vif.
Dans ce temps, j'épelais pour mieux savoir te lire, Et tous les vieux amours qu'il te plaît de maudire Enseignaient
Pour elle, il en était des professeurs comme de leur science ou de leur art; c'était ce qu'ils enseignaient qui les faisait prendre en grippe ou en tendresse et qui leur donnait certaines qualités ou certains défauts: M. Lavalette, le professeur de littérature française, ne pouvait être qu'un sacripant, et Nicétas, le professeur d'accompagnement, qu'un charmant jeune homme. A la vérité, on lui avait dit et répété sur tous les tons que M. Lavalette était un critique de grand talent, un esprit distingué, une conscience droite, en tout le plus honnête homme du monde, mais son antipathie ne pouvait pas admettre cela: on ne savait pas, on se trompait. Au contraire, elle était disposée
Dès lors, dans chaque paroisse, les pauvres purent être instruits. Humble enseignement, sans doute, donné souvent dans des masures, par des ignorants. Mais qu'importe? Le peuple avait la soif de la science qui, pour l'énergie et l'activité de la vie, vaut mieux, vaut mille fois mieux que la possession et la satiété de la science. Maîtres et élèves enseignaient, apprenaient du mieux qu'ils pouvaient; la bonne volonté va loin en tout. Dans presque toutes les chaumières,
Les druides enseignaient que la matière et l'esprit sont éternels, que la substance de l'univers reste inaltérable sous la perpétuelle variation des phénomènes où domine tour
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