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Mis à jour: 26 juin 2025
À cette époque agitée où Pinsker lance son manifeste: Auto-émancipation, Gordon écrit sa poésie: Le troupeau de Dieu. Vous demandez ce que nous sommes. Je vous dirai: Nous ne sommes ni une nation, ni une communauté religieuse. Nous sommes un troupeau le troupeau saint de Jéhova dont toute la Terre est l'autel.
Telle était la Constitution théocratique de Moïse. La loi régnait seule; fondée sur la volonté de Dieu, et soutenue par la voix unanime du peuple, elle avait son trône dans le temple national. Ce temple était la tente du Dieu du pays. Il appartenait aux douze tribus qui, en s'y réunissant pour recevoir ses oracles, ne formaient qu'une seule famille, la famille de Jéhova!
[Note 68: Diodore de Sicile. Moyse a dit qu'il avoit reçu ses loix du Dieu que les Juifs apellent Jao. Ce Jao n'est autre que Jéhova. Philon Juif nous aprend que les Tyriens rendoient ce nom par celui de Jevo. Clement Alexandrin dit que d'autres Peuples l'exprimoient par celui de Jaou, & l'on voit dans Théodoret que les Samaritains l'écrivoient ainsi, Jabai. Cette diversité vient de ce que les Orientaux exprimoient les mêmes mots, les uns avec de certaines voyelles, les autres avec d'autres: & c'est de l
Que les vers sont dignes du stérile Nébo, et que l'éternel Jéhova les a inspirés comme il les a entendus retentir dans les échos sonores du désert.
Certes, si ce grand poëte, au lieu de naître dans une nation vaniteuse de rhétoriciens et d'artistes, comme les Grecs, était né dans une nation de pasteurs, de prêtres, de prophètes, comme les Hébreux; s'il avait vécu la vie du berger de Bethléem, d'abord gardien de brebis dans les lieux déserts, joueur de flûte aux échos des rochers de son pays, barde d'un roi qu'il assoupissait aux sons de sa harpe, sauveur d'un peuple par sa fronde, proscrit de caverne en caverne avec une bande d'aventuriers, puis le héros populaire de sa nation, puis roi, tantôt triomphant, tantôt détrôné de l'inconstant Israël, puis couvert de cendre sur sa couche de douleur, noyé dans les larmes de sa pénitence, et n'ayant de refuge, comme les colombes dans les creux des rochers d'Engaddi, que dans la miséricorde de Jéhova qui avait exalté sa jeunesse; si Pindare, disons-nous, avait eu toutes ces conditions inouïes du génie lyrique du fils d'Isaï, il aurait peut-être donné
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