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Mis à jour: 26 juillet 2025


Dimanche 26 décembre. Ce soir, au milieu d'un lied chanté par la sœur de Berendsen, le traducteur danois de REN

Il a du papier, une plume, mais nul plan devant lui. Telle sa vie, tels ses livres. Il n'a jamais prévu. Il va, flotte; c'est le cours de l'eau. D'homme d'épée, moine et défroqué, romancier et prédicateur, traducteur et compilateur, journaliste, auteur

[Note 133: Sans l'erreur dans laquelle est tombé le traducteur précèdent, nous ne nous serions pas avisé de faire observer qu'il ne s'agit pas ici de la Chambre des Pairs d'Angleterre, mais tout simplement de la grande salle du collége, de la salle des actes, comme on l'appelait autrefois dans nos colléges. On nomme le sénat, dans un collége anglais, la réunion des maîtres et des élèves en grade, ce qui équivaut

C'est une faute du traducteur ou plutôt des scribes. Aimoin dit: Fines petam Libiæ, et il falloit écrire: En Libie.

Les hommes instruits d'alors savaient cela sans qu'on le leur dît, et ils n'en admiraient que plus le traducteur. Vous ouvrez Baïf, le plus infatigable translateur en vers et qui ne laisse rien passer des anciens sans le reproduire bien ou mal; mais quelquefois il vous semble se reposer, il parle en son nom; il a ses gaietés gauloises, on le jurerait, et ses propres gaillardises.

Voyez ci-dessus le dernier alinéa du cinquième livre. Le traducteur semble avoir lu Procerum animos, et non pas Provincialium animos, comme le portent les éditions imprimées des Annales. Il me sembla que la première leçon seroit plus naturelle. L'en dissuadèrent.

III, cap. 27. Note 343: Cette fin de chapitre n'est pas dans Aimoin; elle est du traducteur. Quant

Cette annonce contient un témoignage précieux: c'est que l'imprimeur strasbourgeois reconnaît qu'il ne faut pas peut-être remonter très haut pour trouver l'élégant traducteur ou imitateur de ces chants poétiques». Elle est donc inexacte cette légende qui veut que la personne de l'auteur de la Guzla fût mystérieuse même pour le libraire jusqu'au jour l'avertissement de l'édition de 1842 vint la lui révéler.

Cette traduction a quelque chose de surprenant par sa fidélité et son allure naturelle. Mais pourtant le traducteur fait un sacrifice qui doit lui coûter beaucoup, étant poëte. Il ne reproduit pas (et cela n'était guère possible) la mesure tout italienne du vers de onze syllabes, qui, avec sa rime alternée de trois en trois, son enjambement, son accent variable, tantôt

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