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Mis à jour: 8 juillet 2025
»Ici encore les théologiens distinguent: 1° les raisons de croire objectives, et ce sont les miracles que met en ligne l'apologétique traditionnelle; 2° les raisons de croire subjectives, qu'ils appellent du nom de «suppléances subjectives de la crédibilité rationnelle.»
Toutes ces preuves de l'immortalité de l'âme sont hautement métaphysiques. Il ne paraît pas qu'Avicenne se soit beaucoup occupé des preuves morales ou mystiques. Cela ne signifie pas qu'elles étaient ignorées alors. On les trouverait sans doute dans les théologiens. Les frères de la pureté, dont le système a un caractère plus moral que celui des philosophes, ont donné un joli argument populaire en faveur de l'immortalité : On voit tous les hommes, disent-ils, pleurer sur leurs morts. Ce n'est pas sur les corps qu'ils pleurent, puisque les corps sont sous leurs yeux et qu'au lieu de les embaumer pour les voir plus longtemps, ordinairement ils les enterrent. C'est donc
Il est bien triste pour l'humanité que ceux qui se disent les déclarateurs des commandements célestes, les interprètes de la Divinité, en un mot les théologiens soient quelquefois les plus dangereux de tous; qu'il s'en trouve d'aussi pernicieux dans la société qu'obscurs dans leurs idées et que leur âme soit gonflée de fiel et d'orgueil
Mais, reprendrons-nous, il n'en est pas moins vrai que la société est dans la nature; que la société est la nature encore. Lorsque les théologiens parlent des suites du péché originel; lorsque les moralistes parlent des instincts égoïstes et de l'animalité qui est en nous; et lorsque les uns déclarent la nature mauvaise, et lorsque les autres la jugent fort mêlée, il est bien évident qu'ils ne parlent pas de l'homme préhistorique, vivant (si toutefois il y a jamais vécu) dans un état d'isolement dont nous ne savons rien, mais, de l'homme vivant avec ses semblables, car c'est l
En un mot, je suis, en tant que pensée, le miroir, la Réflexion, des lois universelles, ou, selon l'expression des théologiens, «je suis FAIT
Brissac, stupéfait, regarda le roi. Oui, continua Henri, mon peuple, mon vrai peuple, celui qui est Français, désire en effet un roi de sa religion; je me suis fait instruire dans la religion catholique; j'ai appelé près de moi, dans les rares loisirs que me laissait la guerre, les meilleurs docteurs, les plus sages théologiens. Ils m'ont appris, non pas que Dieu réside dans un seul culte et sur un seul autel, mais qu'il est plus noblement, plus splendidement adoré sur l'autel catholique romain. J'ai appris les beautés sublimes de cette religion, je me suis profondément pénétré de la sainte grandeur de ses mystères. Dieu, qui voyait mon zèle et mon amour, a béni mes efforts; il m'a envoyé sa lumière, il m'a donné la force, lui qui sacrifia son divin Fils au salut des hommes, de sacrifier un vain entêtement, une folle erreur au salut de mon peuple, et c'est aujourd'hui un converti sincère, un fervent adorateur du culte catholique, un fils convaincu de l'
De tous les théologiens catholiques, les Jésuites sont, on le sait, les plus indulgents; il suffit donc de citer le P. Gury pour comparer, sur les sujets semblables, les casuistes brahmaniques et catholiques.
Quant au mariage, il était d'une mince considération parmi les esprits d'élite, chez les fidèles d'amour et les fidèles de science. L'esprit chevaleresque des universités le dédaignait comme un lien trop charnel. Rappelez-vous le refus opiniâtre d'Héloïse qui, tout éprise de la gloire d'Abélard, ne saurait souffrir pour lui les embarras du ménage et les tracas de la vie domestique. L'opinion sur ce point était unanime. L'Apôtre, et avec lui la plupart des théologiens, rangeaient le mariage parmi ces nécessités vulgaires que ne subissent point les grandes âmes. De doctes religieuses enseignaient dans les couvents ce qu'avaient décidé les cours d'amour:
Chez les théologiens, dit Macrobe, Youpiter est l'ame du monde; de l
Toutefois je ne voulois pas inférer de toutes ces choses que ce monde ait été créé en la façon que je proposois; car il est bien plus vraisemblable que dès le commencement Dieu l'a rendu tel qu'il devoit être. Mais il est certain, et c'est une opinion communément reçue entre les théologiens, que l'action par laquelle maintenant il le conserve, est toute la même que celle par laquelle il l'a créé; de façon qu'encore qu'il ne lui aurait point donné au commencement d'autre forme que celle du chaos, pourvu qu'ayant établi les lois de la nature, il lui prêtât son concours pour agir ainsi qu'elle a de coutume, ou peut croire, sans faire tort au miracle de la création, que par cela seul toutes les choses qui sont purement matérielles auroient pu avec le temps s'y rendre telles que nous les voyons
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