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Mis à jour: 9 mai 2025


Le soir Hamdi vint chez moi, tranquille, un peu pâle. Tranquille moi- même, je lui demandai simplement de me dire la vérité: m'aimait-il encore, ou non? Je serais retournée chez ma grand-mère, pour le laisser libre. Il sourit et me prit dans ses bras. "Quelle enfant tu es, me dit- il; voyons, pourrais-je cesser de t'aimer?" Et il me couvrait de baisers, me grisait de caresses.

Mon amour, je ne puis t'aimer: le jour éclate Comme un blanc incendie, au mont des aromates! Le gazon, telle une eau, fraîchit au fond des bois: Un délire sacré m'entraîne loin de toi. Cette odeur de soleil étreignant la prairie, Ce doux hameau, cuisant comme une poterie, Avec ses toits de brique, ardents, pourpres, poreux, Et le calme palmier de Bethléem près d'eux, Cette abeille qui danse, ivre, imprudente et brave, Dans les bleus diamants de la chaleur suave, Me font un corps céleste, aux dieux appareillé! L'aigu soleil extrait des fentes du laurier, Des étangs sommeillants le serpent vient boire, Une opaque senteur qui semble verte et noire. L'été, de tous côtés sur le temps refermé, Noie de lueurs l'azur, étale et parfumé; La montagne bleuâtre a l'aspect héroïque Du bouclier d'Achille et des guerriers puniques, Et je me sens pareille

Non, je ne veux pas t'aimer dans l'ivresse et le blasphème. Je veux t'aimer religieusement et t'associer dans mon âme

Moi aussi, dit-elle, je n'ai cessé: de t'aimer. Le jour et la nuit je pensais

Le ciel lui-même Vient par sa voix me ranimer! Je puis t'aimer et te le dire! Ah! bon ermite, que mon coeur Vous doit de reconnaissance! Par vos talents, votre science Vous m'avez rendu le bonheur. ISOLIER ET LE CHOEUR,

Adieu, ma Joséphine; ta pensée me rendait heureux; tout a bien changé; embrasse tes aimables enfans; ils m'écrivent des lettres charmantes. Depuis que ne dois plus t'aimer, je les aime davantage! Malgré le destin et l'honneur, je t'aimerai toute ma vie. J'ai relu cette nuit toutes tes lettres, même celle écrite de ton sang: quels sentimens elles m'ont fait éprouver!

TIMON. Un animal comme toi. Qu'un cancer te ronge le coeur, pour venir me montrer encore les yeux d'un homme! ALCIBIADE. Quel est ton nom? As-tu donc l'homme tellement en horreur, toi qui es, toi-même, un homme? TIMON. Je suis misanthrope , et je hais le genre humain. Pour toi, je voudrais que tu fusses chien; je pourrais t'aimer un peu.

La Candeur chancela. C'est bien, c'est bien, fit-il, d'une voix sourde... s'il faut, pour t'aimer, aimer aussi celle-l

M'exposant aux rayons de la divine Hostie, A ce foyer d'amour je me consumerai, Et comme un séraphin, Seigneur, je t'aimerai. Jésus, bientôt je dois te suivre Au rivage éternel, quand finiront mes jours; Toujours, au ciel je dois vivre, T'aimer et ne plus mourir, Toujours, oui, toujours! 15 août 1895. Jésus, mon Bien-Aimé, rappelle-toi!... Air: Rappelle-toi.

«Boutonnet, dit-il, me doit cent vingt francs. Je veux te les donner, ma petite Rose, pour que tu fasses réparer ta chambre et que tu y fasses mettre du papier blanc comme une princesse. Au bas je veux planter une vignette et un petit berceau avec cette belle glycine que tu as vue dans le jardin du maire, qui est toute bleue et blanche, et qui s'étend si vite et si loin. Je veux que ta chambre soit la plus jolie de tout le quartier, comme tu en es la plus jolie fille et moi le plus heureux père. Et, ma foi, tiens, s'il faut que je t'avoue mes mauvais sentiments, je suis bien aise maintenant que Bernard soit parti pour l'armée et que votre mariage soit retardé. Il m'ennuyait, ce Bernard. Il était toujours ici, fourré dans la maison ou dans le jardin, il te donnait le bras, il te parlait matin et soir, il te faisait la cour; il ne me laissait rien; il avait tout récolté. A présent, du moins, il ne m'assassine plus de ses visites et je puis t'aimer en toute liberté. Ah! ma bonne Rose, ma chère Rose-d'Amour, tu es aujourd'hui toute ma pensée et ma vie, tu es mon soleil et ma joie. Quand je travaille, c'est pour toi; quand je chante, c'est parce que je t'ai vue; quand je suis triste, je t'écoute et ma tristesse s'en va. Ne me quitte pas, mon enfant; je suis vieux, et quoique fort, je n'ai peut-être pas longtemps

Mot du Jour

épioient

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