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Mis à jour: 6 août 2024


L'Autriche, tout en observant, dans les formes, plus de mesure que l'Angleterre, avait cependant abouti aux mêmes conclusions, et refusé la paix. Le vain espoir de conserver en Italie la situation avantageuse qu'elle devait aux victoires de Suwarow, les subsides anglais, l'opinion erronée que la France, épuisée d'hommes et d'argent, ne pouvait pas fournir une campagne de plus, mais surtout l'obstination fatale de M. de Thugut, qui représentait le parti de la guerre

Très mécontent de n'avoir pas été averti plus tôt, il le fut plus encore d'apprendre l'existence de ce comité anglais formé sans son aveu. Son mécontentement était d'autant plus légitime qu'alors qu'il ne pouvait obtenir pour ses propres agents de subsides de l'Angleterre, elle en comblait les agents de Monsieur ou ceux qui avaient, comme le général de Précy, la faveur du commissaire Wickham. En vue d'un soulèvement de la ville de Lyon, qui devait coïncider avec l'expédition du général Willot dans le midi, Précy avait reçu cinquante-six mille louis, et on venait de verser vingt mille livres sterling au Comité anglais; seuls, les agents nommés par le roi n'obtenaient rien. C'était toujours le même système, ce système contre lequel le roi ne cessait de protester et qui consistait

En effet, une lettre de M. Thiers, publiée dans le Constitutionnel du 16 mai 1846, nous apprend que «les instructions de M. de Mackau lui enjoignaient d'exiger une indemnité pour les Français qui avaient souffert des cruautés de Rosas... et des conditions honorables pour nos alliés. Ces alliés étaient de deux espèces: les insurgés de Buenos-Ayres... lesquels avaient reçu des subsides de nous, et l'Etat de Montevideo, qui était un allié, agissant avec nous comme un Etat indépendant. Pour les uns, il y avait

Les états, assemblés d'abord au Parlement, puis aux Cordeliers, nommèrent un comité de cinquante personnes pour prendre connaissance de la situation du royaume. Ils voulurent «encore savoir plus avant que le grand trésor qu'on avoit levé au royaume du temps passé, en dixièmes, en maltôtes, en subsides, et en forges de monnoies, et en toute autre extorsion, dont leurs gens avoient été formenés et triboulés, et les soudoyers mal payés, et le royaume mal gardé et défendu, étoit devenu; mais de ce ne savoit nul

Elle les lui avait désignés: le prince de Nassau, le général d'Autichamp, le duc de Laval et le vicomte de Vauban. Elle ne se contentait pas de lui donner ces conseils; elle lui promettait des subsides, une lettre pour le roi d'Angleterre qui, seul, pouvait le conduire sur les côtes de France, une frégate russe pour le transporter en pays anglais, et l'appui du comte de Woronsow, son ambassadeur

L'Empire avait tout autant d'envie de se retirer de la coalition que la Prusse. La plupart de ses membres, incapables de fournir le quintuple contingent et les subsides votés sous l'influence de l'Autriche, s'étaient laissé inutilement presser, pendant toute la campagne, de tenir leurs engagemens. Excepté ceux qui avaient leurs états compromis au-del

Le départ des agens Canadiens ne fit point diminuer les assemblées ni l'agitation. L'on déclarait partout que les prétentions de l'administration répandait l'alarme; que la chambre devait avoir le contrôle sur les subsides; que la conduite de la majorité était digne de toute approbation; que le refus de confirmer la nomination de son président après en avoir appelé au peuple, était un acte d'insulte et de mépris de nature

La Virginie, New-York, les Carolines, la Géorgie, New-Hampshire et New-Jersey recevaient bien des gouverneurs nommés par le roi; mais ceux-ci ne possédaient que le pouvoir exécutif: les colonies exerçaient toujours le droit de se taxer elles-mêmes. C'est librement et sur la demande des gouverneurs qu'elles votaient les subsides nécessaires

Tout espoir d'accommodement étant donc évanoui, le 15 d'août l'empereur monta en voiture, nous quittâmes Dresde, et la guerre recommença. L'armée française était encore magnifique et imposante: elle était forte de deux cent mille hommes d'infanterie, et seulement de quarante mille hommes de cavalerie, tant il avait été impossible de réparer complétement les nombreuses pertes que nous avions faites en chevaux. Le malheur voulait alors que l'Angleterre fût l'âme de la coalition de la Russie, de la Prusse et de la Suède contre la France; ses subsides lui avaient acquis des droits; on ne voulait rien décider sans la consulter, et j'ai su depuis que, pendant que l'on faisait des simulacres de négociations, le gouvernement britannique déclara

Lui-même resta fort équivoque; flattant les républicains, caressant les royalistes pour en obtenir des subsides, marivaudant avec les bonapartistes, allant

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