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Mis à jour: 5 juin 2025
Rosas accueillit généreusement le vaincu de Palmar; il l'admit dans son intimité, afin de se l'attacher davantage et, comme il lui fallait pour le moment un ministre implacable de ses vengeances, il le plaça
Rosas tomba en 1852, mais sans avoir reconnu le principe de la liberté des rivières. Ce principe, proclamé par le Congrès des provinces réuni
Caussidière faisait de l'ordre avec le désordre. Rosas pratiquait une doctrine tout opposée; il troublait l'économie sociale de son pays, et consolidait son pouvoir
Le gouvernement est concentré tout entier dans les mains de Rosas. Depuis les plus grandes affaires jusqu'aux plus petites, il décide tout. Les deux ministres, qui passent des mois entiers sans le voir, ont les mains liées sur tout, et n'ont, sur quoi que ce soit, ni volonté ni opinion. Il y a bien une Chambre des Représentants, mais l'existence de cette pauvre assemblée n'est qu'une dérision amère. Elle n'est, ne fait et ne peut rien. Malheur
Rosas n'oubliait pas l'utile concours que nous avait donné l'Etat Oriental, en mettant ses ports
Enfin, il couvrit de sa protection les hommes les plus influents qui, durant les guerres civiles, s'étaient enrichis aux dépens des unitaires et par toutes sortes de dilapidations, et se les attacha par le lien de l'intérêt. Depuis ce moment le général Rosas a régné sans contestation dans toute la province de Buenos-Ayres.
Nous citerons pour mémoire la Mazorca, cette bande d'égorgeurs qui avait pour mission de débarrasser Rosas de ses ennemis et d'entretenir la terreur dans la cité. Les Mazorqueros, habiles
Les lecteurs n'attendent pas de nous une appréciation détaillée et approfondie de l'administration du général Rosas. Tout le monde a entendu parler de cet homme audacieux, cruel et rusé, qui, des rangs les plus infimes, a su s'élever
Tous ces pactes, inspirés par la Convention de 1822, stipulent également la liberté, l'indépendance, les droits et la représentation des signataires. Cette année vit la fin de la lutte sanglante où étaient engagés les deux partis qui divisaient l'Etat Argentin. Les Unitaires, ayant Lamadrid pour chef, furent écrasés en décembre 1831, devant San-Miguel-de-Tucuman, par Quiroga, lieutenant de Rosas.
Mon Dieu! messieurs, fatigué de passer dans la colonie pour un être mystérieux, pour un sorcier, un vampire, que sais-je? j'ai voulu devenir un homme comme tout le monde. Ainsi, vous êtes?... Officier comme vous, comme vous colonel, et de plus aide de camp du général Rosas. C'est prodigieux, fit don Luciano. Pourquoi donc? rien de plus simple, au contraire.
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