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Mis à jour: 5 juin 2025
Les unitaires préparaient l'union des provinces. Rosas résolut de faire dominer, dans la confédération, l'élément militaire, pour contre-balancer l'influence du congrès général, dévoué aux idées des unitaires, il chercha des amis parmi tous ceux qui, comme lui, s'étaient élevés en s'appuyant sur la campagne. Ils ne purent empêcher l'organisation fédérative de la république, mais ils protestèrent hautement, et opposèrent puissance
Soutenu par Rosas, comme plus tard Florès le sera par Mitre, Oribe assiége Montevideo. Le cabinet de San-Christoval profite des embarras de l'Etat Oriental pour lui offrir ses services, contre l'ennemi commun, c'est-
La France et l'Angleterre avaient déjoué les projets de Rosas, favorisés par la complicité d'Oribe; le Paraguay voulait faire échouer la perfide combinaison de Mitre et du cabinet de San-Christoval, servie par la complicité de Florès.
Oubliant que le refus de Lavalle, de retirer ce décret, avait nécessité l'attaque de l'escadre argentine par la frégate française la Magicienne, et que notre action hostile avait déterminé la chute de ce chef, Rosas exhuma le décret de 1829 et voulut le faire exécuter.
Pendant sa longue dictature et jusqu'au jour de sa chute, Rosas n'a eu qu'une pensée: absorber ou ruiner Montevideo. «Oribe, dit M. de Brossard, n'était qu'un prétexte pour Rosas; le but réel de ce dernier était la ruine, l'annexion ou, tout au moins, l'asservissement indirect
Notre grand Rosas, répondit le colonel qui étouffait dans son uniforme, a encore battu
Don Juan, demain, je l'espère, demanda le gouverneur, vous assisterez au Te Deum chanté en l'honneur de notre glorieux Rosas? Impossible, colonel; ce soir même, je pars pour un voyage forcé. Allons bon! encore une de vos excursions mystérieuses? Oui, mais celle-l
Tel était le régime que Rosas imposait aux Espagnols, aux Italiens, aux Allemands, aux citoyens des autres républiques latines, et auquel il aurait voulu entièrement soumettre nos nationaux. En 1837, les causes de mésintelligence qui existaient déj
Par ce rapide aperçu, on comprendra combien devait être profonde la jalousie haineuse de Rosas. Ce mauvais sentiment avait grandi chez lui, en raison de la prospérité inouïe de Montevideo. Les prétextes de guerre contre la pacifique, mais brillante rivale de Buenos-Ayres, ne manquèrent pas au dictateur argentin.
Et le Brésil accordant, en apparence, ses actes avec ses paroles, reconnaissait le Paraguay. Nous disons en apparence, parce que le vrai motif de cette reconnaissance était le désir de se venger de Rosas qui venait de repousser l'alliance de Rio-de-Janeiro.
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