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Mis à jour: 1 juin 2025
Bientôt ces vents deviennent plus forts; ils secouent violemment les hautes cimes des arbres, qui se balancent alternativement
Le paysan béarnais, au béret incliné sur l'oreille, piquait dans les prairies ces petits chevaux de trois écus qui bondissent infatigables sur leurs jarrets d'acier, font vingt lieues d'une traite et, jamais étrillés, jamais couverts, se secouent en arrivant au but, et vont brouter dans la première touffe de bruyère venue, leur unique, leur suffisant repas.
Les deux civettes de la ménagerie s'irritent facilement quand on les tourmente; alors elles hérissent leur crinière, se secouent en grondant, et répandent une odeur si violente, qu'
À peine a-t-il achevé de parler que tous entonnent un hymne religieux avec des voix discordantes, et, tout en chantant, balancent leurs corps, secouent leurs mains, agitent leurs bras de la façon la plus étrange. Ces exercices durent environ une heure: pendant tout ce temps, ils se reproduisent sous la même forme avec quelques modifications.
Quand dans les tombeaux les vents jouent Avec les os des rois défunts; Quand les hautes herbes secouent Leur chevelure de parfums; Quand sur nos deuils et sur nos fêtes Toutes les cloches des tempêtes Sonnent au suprême beffroi; Quand l'aube étale ses opales, C'est pour ces contemplateurs pâles Penchés dans l'éternel effroi!
Des convulsions secouent son pauvre petit corps crispé; ses pattes se raidissent; sa tête,
Ils chantent: «As-tu entendu, les tribordais, debout au quart, debout, debout, debout!... As-tu entendu, les tribordais, debout au quart, debout, debout, debout!...» Ils vont et viennent, courbés sous les hamacs suspendus, et, en passant, secouent les dormeurs
Comme les sentiments du brave Tam sont bien indiqués! Il est d'abord tout en courage, et il se rit de ces éclairs et de ces bourrasques. Celles-ci le secouent cependant, et déj
On croit que je veux le vendre; les jeunes gens se détournent avec horreur, mais les marchands d'habits approchent. Ils prennent les basques, tâtent les boutons, comme des médecins qui soignent une variole, et s'en vont; mais aucun ne m'offre un prix. Ils secouent la tête tristement, comme si ce drap était une peau malade et que je fusse un homme perdu. Et il pèse, ce pardessus!
Et Lise avouait même que la réalité, les jouissances qui secouent l'être de la nuque aux talons, qui le plongent comme en du Néant, ne lui avaient jamais paru aussi complètes, aussi délectables, aussi détraquantes que ces sensations de rêve, ce vertige cérébral!
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