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Mis à jour: 26 juillet 2025
Après la récitation du symbole de Nicée, les dix enfants de choeur de la chapelle royale, dans leur pittoresque costume écarlate avec des collerettes blanches, entonnent l'antienne: «J'ai prié pour obtenir de vous la sagesse.» Alors les deux gentilshommes de la Chambre, en habit de Cour, l'épée au côté, précédés d'un huissier portant une verge d'argent, s'avancent vers l'autel.
Les plus fervents peut-être, parce qu'ils ont été les plus éprouvés, entonnent maintenant sur les grèves de la mer Rouge, comme dans les noires cavernes de la montagne du Dauphiné, leurs simples et sublimes cantiques: Dieu! vos enfants vous aiment, Ils seront forts et patients!
Le clocher normand de Saint-Sauveur! Oh, si vous saviez quelle vaillante masse populaire s'entasse en cette église! A certains jours, des milliers d'ouvriers. L'âme ardente sous la blouse noble, entonnent le cantique de leurs milliers de poitrines frémissantes, font mugir la sourde rumeur de leur prière colossale
Cette dernière strophe, si courte et si bizarre, nous paraît la plus belle et la plus orientale des improvisations de Kourroglou. Elle a la concision mystérieuse du style biblique. L'âme coupable s'y dévoile en voulant cacher sa honte et son effroi sous des métaphores. L'orgueil blessé, la colère, la vengeance toujours vivantes dans le coeur du meurtrier, entonnent le chant du triomphe; les méchantes passions acceptent la mort de l'homme juste et généreux comme un bouquet de roses. Puis aussitôt le désespoir du maudit étouffe l'hymne impie. Oh! que tes montagnes se couvrent de brouillards! la nuit descend sur les yeux de Caïn. Kourroglou, que ton bras soit desséché! Et le bon refrain si bête et si sombre: «J'ai rencontré un marchand!» en dit plus qu'il n'est gros. Nous connaissons certains refrains romantiques des ballades modernes, qui cherchent le terrible et le naïf,
Les anges entonnent alors un cantique céleste qui fut entendu de tous les assistants quoique tous ne vissent pas Notre-Seigneur.
A la fin, Dorilas est terrassé. Il remet entre les mains de son vainqueur le prix de la lutte, et tous deux, unissant leurs voix, entonnent un chant d'allégresse
Les voici qui entonnent le chant d'appel, les voix attendues par eux. Des personnages qui habitent le sommet de ces flèches perdues dans la vapeur lumineuse du ciel; des hôtes de l'air, qui doivent en ce moment voisiner avec la Lune, vocalisent tout
Les yawls s'emplissent aussi de chairs grenat que les hommes découpent, déchirent et piétinent. Tandis qu'un nuage de corbeaux et d'oiseaux de mer tourbillonne, s'abaisse de plus en plus vers la terre, chacun guignant, en piaillant, sa part de la curée. Les yawls, bientôt, se dispersent vers leurs fjords respectifs. Ce n'est plus la course folle des chasseurs poursuivant leur proie: les barques s'éloignent lentement, tout appesanties par le butin. Et puis, c'est la réaction de tant d'heures d'ivresse: les hommes nagent avec indolence, s'apercevant enfin de la fatigue. Pour s'entraîner, ils entonnent de nouveau des chants liturgiques, dont le rythme monotone ne suffit pas
Il va foncer sur les sagamos nez-percés, quand un Chinouk l'avertit que les Clallomes plient, se débandent sur le flanc-gauche et que leurs ennemis tentent une évolution pour les envelopper. Aussitôt le métis fait volte-face. Il presse de ses genoux son buffle qui part comme l'éclair. Les Nez-Percés s'imaginent qu'il fuit. Ils entonnent le chant de la victoire et les Chinouks reculent.
Les Enfants perdus, jugeant leur victoire certaine, entonnent leur chanson de guerre et exécutent la danse du scalp autour du brasier. La lueur des flammes découpe dans la nuit leurs silhouettes grimaçantes, qui passent et repassent, semblables
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