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Mis à jour: 1 juin 2025
Et Pan, Silène, les Satyres, les Bacchantes, les Mimallonéides et les Ménades, avec leurs serpents, leurs flambeaux, leurs masques noirs, se jettent des fleurs, découvrent un phallus, la baisent, secouent les tympanons, frappent leurs tyrses, se lapident avec des coquillages, croquent des raisins, étranglent un bouc, et déchirent Bacchus.
«Pourquoi si loin de ton oreille aujourd'hui mes cris qui appellent ton secours, et mes cris vers toi? «Mon Dieu! je rugis de douleur le jour et tu ne réponds pas! La nuit je ne trouve ni repos de corps ni repos d'esprit! «Je suis un vermisseau écrasé, et non un homme! Tous ceux qui me voient passer desserrent les lèvres pour rire de moi et secouent la tête avec dérision!
Il pleut et il neige en même temps; les rafales de vent secouent les toiles des tentes, traversent les planches mal jointes des hangars, des baraquements où les soldats se sont entassés. Depuis quatre mois qu'ils vivent
Nous allions, épelant, sur la blancheur des marbres, Le nom de quelque reine au profil solennel, Ou choisissant parfois un astre dans le ciel, Et puis très curieux, ramenant de la nue Nos regards, de trouver l'étoile devenue Perle dans l'eau, parmi les duvets d'argent fin Que les cygnes secouent sur l'onde du bassin. T'en souviens-tu? C'était du temps de la Commune.
Toujours les saints sont victorieux, et toujours ils doivent recommencer la victoire. Plus on chasse de diables, plus il en revient. On en compte six mille six cent soixante-six dans le corps d'une seule femme, que Fortunat délivre. Ils s'agitent, ils parlent et crient par la voix des possédés, dont ils secouent les flancs d'une tempête.
Les feuilles s'envolent par bandes, reviennent aussitôt, peureuses, apprivoisées, et tâchent de se raccrocher. Celles de l'acacia, fines, soupirent; celles du bouleau écorché des plaignent; celles du marronnier sifflent, et les aristoloches grimpantes clapotent en se poursuivant sur le mur. Plus bas, les pommiers trapus secouent leurs pommes, frappant le sol de coups sourds.
Les courses vont commencer, les chevaux s'alignent. De hauts panaches, plantés entre leurs oreilles, se balancent au vent comme des arbres; et ils secouent, dans leurs bonds, des chars en forme de coquille, conduits par des cochers revêtus d'une sorte de cuirasse multicolore, avec des manches étroites du poignet et larges du bras, les jambes nues, toute la barbe, les cheveux rasés sur le front
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