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Mis à jour: 11 juin 2025
Le vaudeville de Scribe, Le Coiffeur et le Perruquier, date de l'époque où les premiers avaient définitivement supplanté leurs rivaux, qui ne conservaient guère que la clientèle des vieillards; ce qu'ils avaient gardé c'était la loquacité de jadis: «Tous ces perruquiers sont si bavards, s'écrie un coiffeur, et celui-l
La partie musicale était assez bien exécutée, par l'orchestre surtout; mais ce qui se passait sur la scène était une indigne caricature. Par exemple, le Bailli, le Scribe et le Distillateur, paraissant dans le deuxième tableau du deuxième acte, se mirent
C'était une belle feuille double, frappée d'un timbre incrustant le papier; une belle écriture de scribe la paraphait, indifférente. «On ne doute de rien, pensait-elle. Si André refusait pourtant!» Quand il rentra, elle dit: Quelqu'un est venu te voir. Devine? Ah! Qui donc? Devine?... Crescent! Qu'est-ce qu'il voulait? Te montrer quelque chose.
Cela me rappelle la théorie de Scribe. Comme un ami s'étonnait un jour des singulières paroles qu'il avait prêtées
Excepté dans les deux derniers actes, le rôle de Raoul, malgré votre habileté, ne peut soulever la niaiserie étourdie dont l'a accablé M. Scribe. La vive sensibilité et l'intelligence rare de Nourrit luttent en vain contre cette conduite de hanneton sentimental, véritable victime
Le plus merveilleux de l'affaire est que M. Scribe, jaloux comme un tigre quand il s'agit de l'invention de quelque bonne farce
L'idée de ce repas de garçon avec son mari dans l'appartement de la rue Scribe
En réalité, plus que Corneille, Racine et Molière, plus qu'Augier, Feuillet, Labiche et Meilhac, il aime Regnard, Gresset, Piron, Favart et Beaumarchais et Scribe et Dumas père. Il a la prédilection la plus tendre pour le théâtre du XVIIIe siècle et du temps de Louis-Philippe. Pourquoi? je ne saurais le dire. Voici quelques passages qui nous l'expliqueront tant bien que mal: Il y avait alors (au temps de Louis-Philippe) une délicatesse et une générosité qui donnaient le ton
Pourquoi M. Sarcey voit-il cela «avec chagrin?» Il y a très réellement une petite minorité d'honnêtes gens aux yeux de qui quelques-unes des conventions proclamées nécessaires par M. Sarcey ne le sont point ou même sont presque déplaisantes. C'est de la meilleure foi du monde qu'ils ne prennent point de plaisir au théâtre de Scribe. Ce n'est pas leur faute s'ils ne sont pas curieux de «savoir ce qui arrivera», s'ils sont insensibles au plaisir d'être «mis dedans» et s'ils goûtent médiocrement les «mots de théâtre». Non qu'ils soient «naturalistes» plutôt qu'autre chose, ni qu'ils aient la naïveté de réclamer au théâtre la vérité complète. Mais il leur faut ou beaucoup de poésie ou beaucoup d'observation ou beaucoup d'esprit. Sur le reste ils ne sont pas difficiles, quoique l'habileté de l'arrangement dramatique leur soit certainement un surcroît de plaisir. Mais enfin ils demandent que le théâtre soit encore de la littérature. Ils aiment les comédies de Musset, même les Caprices de Marianne, même Barberine. Dans le théâtre d'Augier, ce qui leur plaît, c'est le Joueur de flûte et c'est le second acte du Mariage d'Olympe; dans le théâtre de Dumas fils, c'est l'Ami des Femmes, la Visite de Noces et même, ça et l
Amuse, n'est pas le mot, répliqua le pompier; la pièce est assez.... Parlez plus bas, interrompit M. Meyerbeer, en apercevant M. Scribe qui rôdait autour d'eux. Mais la musique! reprit le pompier en baissant la voix, oh! la musique!... Vous pouvez parler plus haut, dit M. Meyerbeer... Eh bien! la musique?
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