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Mis à jour: 26 juin 2025


Dès le 30 mars, parut un décret impérial, que Napoléon se contenta de faire communiquer au Sénat, et qui érigeait en duchés, grands fiefs de l'Empire, la Dalmatie, l'Istrie, le Frioul, Cadore, Bellune, Conegliano, Trévise, Feltre, Bassano, Vicence, Padoue et Rovigo; Napoléon se réservant d'en donner l'investiture

Le duc de Rovigo, avec autant de dévouement que d'intrépidité, a traversé plusieurs fois les légions ennemies, pour aller faire connaître aux différentes colonnes l'intention de l'empereur. Des deux cent vingt mille hommes qui composaient l'armée autrichienne, tous ont été engagés hormis les vingt mille hommes que commande le général Bellegarde et qui n'ont pas donné.

[Note 354: Anne-Jean-Marie-René Savary, duc de Rovigo (1774-1833), général de division (7 février 1805), créé duc (23 mai 1808), ministre de la police générale (8 juin 1810), pair aux Cent-Jours, commandant de l'armée d'Algérie (1831-1832). Aide de camp de Desaix, il était

Attentat contre la vie de Napoléon. Heureuse pénétration du général Rapp. Arrestation de Frédéric Stabs. L'étudiant fanatique. Incroyable persévérance. Le duc de Rovigo chez l'empereur. Stabs interrogé par l'empereur. Pitié de l'empereur. Le portrait.

Ces écrivains ont vécu tous les trois dans l'intimité du grand homme, mais chacun d'eux lui porte des sentimens différens: le duc de Rovigo l'admire; M. de Bourrienne l'abhorre; M. Constant l'adore. Que de renseignemens curieux ne doivent pas renfermer des écrits dictés par des intérêts si divers

M. de Rovigo insiste sur ce que la séance n'était point mystérieuse: «Les portes de la salle, affirme-t-il, étaient ouvertes et libres pour tous ceux qui pouvaient s'y rendre

M. le duc de Rovigo me consulta sur les chapitres il traite de la mort du duc d'Enghien; il voulait connaître ma pensée, précisément parce qu'il savait ce que j'avais fait; je lui sus gré de cette marque d'estime, et, lui rendant franchise pour franchise, je lui conseillai de ne rien publier. Je lui dis: «Laissez mourir tout cela; en France l'oubli ne se fait pas attendre. Vous vous imaginez laver Napoléon d'un reproche et rejeter la faute sur M. de Talleyrand; or, vous ne justifiez pas assez le premier, et n'accusez pas assez le second. Vous prêtez le flanc

Il fut secrétaire de Benjamin Constant. Nul ne pouvait donner des détails plus exacts sur le moment et le lieu du coup de foudre que M. le duc de Rovigo; écoutons-le: «Après le prononcé de l'arrêt, je me retirai avec les officiers de mon corps qui, comme moi, avaient assisté aux débats, et j'allai rejoindre les troupes qui étaient sur l'esplanade du château. L'officier qui commandait l'infanterie de ma légion vint me dire, avec une émotion profonde, qu'on lui demandait un piquet pour exécuter la sentence de la commission militaire: Donnez-le, répondis-je. Mais dois-je le placer? L

Il voulut aussi organiser la maison de l'Impératrice; il renomma dames du palais mesdames de Bassano, de Vicence, de Rovigo, Duchâtel et Marinier; la duchesse de M * ne fut point rappelée. Il avait su par le prince Joseph qu'elle avait abusé, après les événemens de Fontainebleau, de la confiance de l'Impératrice, et trahi le secret de sa correspondance.

Depuis que l'immense crédit de la favorite était aussi bien établi, le duc de Rovigo l'assiégeait de ses réclamations. Il voulait être réhabilité

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