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Mis à jour: 25 juillet 2025


Il parle avec franchise de ses relations avec Mlle Georges et Mme Grassini, avec Mme Duchâtel, Mme Gallieno et Mme Pellaprat. A propos d'une autre personne que Gourgaud ne nomme pas, mais qu'il désigne assez clairement pour qu'on puisse reconnaître Mme Fourès, Napoléon s'exprime ainsi: «Elle avait dix-sept ans et j'étais général en chefLorsqu'il était sur le trône, on croyait qu'il dédaignait la société des femmes. Il admet le fait et l'explique. Il était, dit-il, naturellement sensible et craignait l'empire que les femmes auraient pu prendre sur lui. Par conséquent, il les avait évitées. En quoi il avait fait, de son propre aveu, une grosse erreur. «Sa Majesté dit que si Elle remontait jamais sur le trône, Elle consacrerait deux heures par jour

«Je n'avais pas, en ce moment, ajouta M. Duchâtel, l'idée que le changement du cabinet fût entré dans l'esprit du roi. Y avait-il déj

La victoire des gardes nationales fut souillée par des atrocités. Malgré l'indignation de la plupart des habitans de Bressuire, et les efforts de quelques hommes de bien, il y eut des prisonniers massacrés de sang-froid. M. Duchâtel, de Thouars, qui depuis,

M. Duchâtel m'informa sur-le-champ de cet entretien en y ajoutant: «Soyez sûr que la dissolution est au fond de la situation actuelle. On prend des renseignements de tous les côtés. On s'y prépare le plus mystérieusement que l'on peut. On envoie, aux journaux des départements, des articles que j'ai lus et qui vantent les heureux effets probables d'une dissolution. Le Roi est décidé

En présence de cette résolution, que ferait le cabinet? Le ministre de l'intérieur, M. Duchâtel, avait répondu d'avance

Le ministère s'était récemment affaibli par la retraite du duc de Broglie. La présidence nominale du maréchal Gérard ne lui rendait pas l'ensemble qu'il avait perdu; mais messieurs Guizot, Thiers, Rigny et Duchâtel présentaient un quatuor qui promettait quelque force.

Des membres du cabinet, M. Thiers et M. Duchâtel furent ceux qui y prirent la principale part. Avec l'inventive et souple rectitude de son esprit, M. Thiers traita la question sous toutes ses faces: au nom du cabinet tout entier, il reconnut non-seulement que la réduction des rentes était légale et utile pour l'

Le cabinet n'hésita pas un moment. Informé, le 20 février au soir, du manifeste qui devait être publié le lendemain, M. Duchâtel en donna sur-le-champ connaissance

Nul, parmi mes amis, ne jugeait et ne m'instruisait mieux de cette situation que M. Duchâtel: éloigné de Paris en ce moment, il observait les faits et pesait les chances avec cette ferme et fine sagacité, toujours dirigée vers le point essentiel des questions et des affaires, qui est l'un des mérites éminents de son esprit. Il m'écrivait le 1er octobre de Mirambeau: «Nous sommes dans une des plus terribles crises qu'un gouvernement nouveau puisse avoir

Cette année 1846 fut, pour le ministre de l'intérieur comme pour moi, une époque de grande activité et de forte épreuve: en même temps que se terminait la négociation des mariages espagnols, la Chambre des députés fut dissoute après quatre ans de durée, et renouvelée par des élections générales . Pendant qu'on s'y préparait de part et d'autre, «la lutte devient de plus en plus vive, m'écrivait M. Duchâtel ; plusieurs points de l'horizon se rembrunissent depuis quelques jours. J'espère que cela s'éclaircira. D'après les apparences actuelles, je m'attends

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