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Mis à jour: 26 juin 2025
Je te ferai passer des journaux, m'a-t-il dit en s'en allant. Ça te distraira. Je l'ai remercié d'avance tout en ne comptant guère sur lui. J'ai eu tort. Un des hommes de corvée qui nous apportent la soupe m'a remis ce soir, de sa part, un paquet de papiers. De vieux journaux de France, un roman-feuilleton et deux numéros d'un journal local, imprimé moitié en arabe, moitié en français.
Voici: M. Lebirbe, votre vénérable père, mademoiselle, avait étendu en travers de votre seuil une jeune esclave sans défense, afin, sans doute, que s'il se présentait un féroce séducteur, la pauvre fille lui servît de proie et s'offrît en sacrifice pour vous conserver l'Honneur. Ce n'était pas précisément son but, mais comment le savez-vous? Mystère et roman-feuilleton. Continuez.
La formule qui règne en ce moment n'a donc pas d'excuse. Elle ne saurait même invoquer en sa faveur la tradition. Elle ne se rattache en rien aux chefs-d'oeuvre de notre littérature dramatique. Je ne puis développer ici les arguments que je fournis; mais il est aisé de le faire. Cette formule est née de l'ingéniosité et de l'habileté d'une génération d'auteurs. Elle a récréé le public, car elle offre le gros intérêt du roman-feuilleton, dont l'invention a passionné la masse des lecteurs illettrés. Et c'est ainsi qu'elle s'est étalée, au point de faire dire qu'elle est tout le théâtre, et qu'en dehors d'elle il n'y a pas de succès possible. Heureusement, l'histoire littéraire est l
Voyez-vous, lui dit la dame, figurez-vous que c'est un roman-feuilleton, je vous ai donné une part de moi-même: mon coeur et mon bras, sans parler d'un baiser que vous m'avez volé sur le cou. La suite
Combien encore, sans le roman-feuilleton du même auteur l'Intendant Bigot, combien, dis-je, des 14,000 abonnés du défunt Opinion Publique n'auraient jamais lu le savant, exact et patriotique récit de la première bataille des plaines d'Abraham?
Cependant, vers 1835, je crois, la Presse s'était fondée, et j'y avais inventé le roman-feuilleton. Il est vrai que l'essai n'avait pas été heureux. Girardin ne m'avait livré qu'un feuilleton hebdomadaire et j'avais débuté par la Comtesse de Salisbury, qui n'est pas une de mes meilleures choses. En feuilleton quotidien, le roman eût pu se soutenir.
Il avait constaté son peu d'aptitude au roman-feuilleton. Un genre, pourtant productif et susceptible d'agir sur les grandes masses de lecteurs. Les Mystères de Marseille furent son unique tentative en ce genre. Il ne se sentait pas davantage la force de donner, chaque jour, un article d'actualité, soit politique, soit littéraire. Il cessa donc pareillement de faire du journalisme courant, car, bien qu'il ait beaucoup écrit dans divers journaux, et qu'il ait collaboré
Vous savez la méthode: on fait un roman; puis on prend le roman, on le dépèce, et on l'accommode en drame, servant chaud si l'on peut. C'est de la littérature dramatique d'après la méthode de la Cuisinière bourgeoise. M. Frédéric Soulié vient de mettre cette recette en pratique pour Eulalie Pontois; de roman-feuilleton qu'elle était, il en a fait un mélodrame en cinq actes: M. Frédéric Soulié a du moins, le mérite d'avoir usé de son propre bien. L'auteur du mélodrame et du roman est la seule et même personne, una et cadem persona. Il n'y a rien
«La dernière pièce de D... je l'ai vue hier n'est pas bonne, mais le roman-feuilleton de G... me passionne. Quel dommage de ne jamais savoir ce que la comtesse allait faire dans la caverne! «E finita. Ma dernière cigarette pour toi ... pour vous deux. Ouf!... Ton MAR
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