United States or Åland ? Vote for the TOP Country of the Week !


Est-ce votre amour que tous regrettez? Ma fille, il faudrait autant pleurer un songeRêveuse et dont la main balance Un vert et flexible rameau, D'où vient qu'elle pleure en silence, La jeune fille du hameau? Autour de son front je m'étonne De ne plus voir ses myrtes frais; Sont-ils tombés aux jours d'automne Avec les feuilles des forêts?

Ah! ne regrettez pas cette abnégation de vous-même, cette noble protection accordée

Il demeura quelques instants sans parler. J'espère que vous ne regrettez pas d'être venu

Ne regrettez que le moment , par une fatale faiblesse, vous avez révélé

N'attendras-tu pas ici le cinquième jour des couches? Mais je ne puis plus dormir dans l'Akropolis depuis que j'ai vu le serpent, qui lui sert de gardien. Et moi, malheureuse, je suis exténuée par les chouettes, dont les cris continuels m'empêchent de dormir. Maudites femmes, finissez-en avec vos mensonges. Vous regrettez vos maris, c'est clair. Mais croyez-vous qu'ils ne vous regrettent pas?

Mes amis, leur dit Gribouille bien que je ne comprenne pas beaucoup votre langage, je vois que vous me regrettez et que vous me plaignez. J'y suis sensible; car, loin de vous mépriser pour votre laideur et la tristesse de votre condition, je vous estime autant que si vous étiez des papillons couverts de pierreries ou des oiseaux superbes. Il me suffit de voir que vous avez un bon cœur pour faire grand cas de vous. Je vous prie, quand je ne serai plus, s'il vient

Ne regrettez pas de n'être pas

Parlez, parlez Rodrigue, asseurez cette ingratte, Qu'elle attend vainement le bonheur qui la flatte, Ou si vous regrettez de m'avoir obligé, Dites-moy librement que vous estes changé, Que malgré ses rigueurs sa constance vous touche. Grand Prince mon devoir me ferme icy la bouche, C'est assez desormais que vous sçachiez de moy, Estant vostre sujet, que vous estes mon Roy.

Et vous ne désirez rien? Non. Et vous ne regrettez rien? Ni regret ni désir. J'ai arrangé ma vie. Ce qu'arrangent les hommes, dit Claude, les choses le dérangent. Je suis un philosophe pyrrhonien, répondit Gringoire, et je tiens tout en équilibre. Et comment la gagnez-vous, votre vie?

Je suis embarrassée pour vous conseiller, chère âme tourmentée. Vous êtes dans une de ces situations d'esprit le pour et le contre se balancent sans solution. Vous éprouvez le besoin de changer de milieu, et, dès que vous quittez le vôtre, tout vous manque; vous regrettez, comme vous le dites, très bien, jusqu'aux herbes de votre jardin. J'ai traversé ces souffrances; mais je suis toujours revenue