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Au nom du ciel, ne me quittez point ainsi, dit-il d'un accent pénétré. Ne me gardez point rancune... Croyez qu'en vous affligeant, je suis plus

Je ne vous plains pas de mourir, lui répondait Fulgence; je me plains parce que vous me quittez. Je ne suis pas inquiet de votre avenir, je sais que vous allez passer de mes bras dans ceux d'un Dieu qui vous aime; mais moi je vais gémir sur une terre aride et traîner une existence délaissée parmi des êtres qui ne vous remplaceront jamais pour moi!

Pourquoi me gêneriez-vous? dit-il d'un sérieux de glace. Parce que... un homme qui a du goût pour une femme, un homme aussi considérable que vous, un seigneur aussi beau que vous l'êtes, a le droit de s'irriter, de se dégoûter même, si une folle comme moi le rebute. Oh! ne me quittez pas, ne me perdez pas, ne me prenez pas en haine, monsieur!

Tyroliens, quelle qu'ait été votre conduite, rentrez dans vos foyers; quittez des drapeaux tant de fois battus, et impuissans pour se défendre. Ce n'est pas quelques ennemis de plus que peuvent redouter les vainqueurs des Alpes et d'Italie, mais c'est quelques victimes de moins que la générosité de ma nation m'ordonne de chercher

Je vous en prie, ne quittez pas votre sérieux, il n'est pas question de jouer, ce qui, d'ailleurs, ne vous va que médiocrement, vous aurez beau faire...

«Consolez-vous, Babolein, dit Madeleine; vous êtes trop bon de pleurer mon départ; je ne vais pas loin, et je vous verrai encore quelquefois. » Oh! ce n'est pas la peine, mamzellerépond le grand garçon en sanglotant; «puisque vous nous quittez, il vaut autant ne pas revenir; mais je sais bien que je ne me consolerai pas!...»

Vous avez remarquer, monsieur, reprit bientôt André, cette coïncidence étrange de la maladie de Mlle de Mussidan et de sa lettre désolée. Vous la quittez gaie et souriante, heureuse de votre magnanimité, et une demi-heure plus tard,

Quittez cette chambre! sortez sur-le-champ! Ohé! cria M. Grummer en se retirant rapidement vers la porte et en l'entre-bâillant, Dubbley! Voil

Tarass avait vu de loin le péril qui menaçait les kouréni de Nésamaïkoff et de Stéblikoff, et s'était écrié de toute sa voix: Quittez vite, quittez les chariots; et que chacun monte

Serrez les chevaux, serrez les chevaux, dit le page; ne les quittez pas d'une semelle, ou nous n'arriverons pas. Mais avant que nous arrivions, vous serez mis en morceaux. Ne vous inquiétez pas de moi. En avant! en avant! Les chevaux vont ruer. Empoignez la queue du dernier; jamais un cheval ne rue quand on le tient de la sorte.