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Mis à jour: 7 juillet 2025


L'état-major l'exige. Je ne suis plus colonel, alors, mais gratte-papier. Major, écrivez l'ordre, je le signerai. Tous les hommes ont leur épinglette? Punissez les maréchaux de logis, s'il en manque une seule...; vous entendez. L'empereur et le prince Murat... J'ai huit hommes sans bottes dans ma compagnie... Qu'est-ce qu'ils en ont fait, ces bougres-l

Et tant de souffrance, et tant d'horreur, le lendemain du jour nuptial.. J'ai péché contre vos lois, et vous m'en punissez, ô mon Dieu! soupirait Alice, en étouffant des sanglots qui lui tenaillaient la gorge. Je suis maudit! pensait Evrard. Firent-ils beaucoup de chemin? On ne le saurait croire. Car, voyez-vous, les pauvres enfants ne pouvaient aller bien vite!

SOPHIE, avec effroi. Oh! ma bonne mère Louchet, si vous avez de l'amitié pour moi, je vous en prie, ne la punissez pas; voyez comme elle souffre de son pied. Maudit vin! il a déj

«D'ailleurs vous punissez toute une province, parce qu'elle renferme quelques paroisses mécontentes; vous châtiez même ceux qui vous ont aidés

On! non, non. Vierge sainte, s'écria Isabelle, ne le punissez pas. Isabelle! fit le comte, en essayant de serrer la jeune fille dans ses bras. Mais celle-ci s'écarta doucement, retenue par la sainteté du lieu.

«Le pouvoir et les règles pour décerner les récompenses et les châtiments publics viennent d'en haut. Qui entreprend de changer les moeurs des hommes ne doit pas se flatter que le bon exemple seul persuade la vertu. Il faut effrayer les méchants pour les corriger ou même pour les contenir. C'est au nom du Tien qu'on agit; c'est sa justice qui doit diriger: on ne doit y mêler aucune vue particulière. Il est dit: Récompensez le mérite, punissez le crime; si vous ne vous trompez ni dans l'un ni dans l'autre, espérez de voir croître les vertus et diminuer les vices. Il est dit dans Confucius: Le Tien ordonne de décerner les cinq honneurs et les cinq récompenses

Cependant, je l'avoue, toutes les infractions ne sont pas anéanties; il faudrait être un Dieu, et travailler sur d'autres individus que l'homme, pour absorber entièrement le crime sur la terre; mais comparez ceux qui peuvent rester dans la nature de mon Gouvernement, avec ceux le Citoyen est nécessairement conduit par la vicieuse composition des vôtres. Ne le punissez donc pas quand il fait mal, puisque vous le mettez dans l'impossibilité de faire bien; changez la forme de votre Gouvernement, et ne vexez pas l'homme, qui, quand cette forme est mauvaise, ne peut plus y avoir qu'une mauvaise conduite, parce que ce n'est plus lui qui est coupable, c'est vous... vous, qui pouvant l'empêcher de faire mal en variant vos loix, les laissez pourtant subsister, toutes odieuses qu'elles sont, pour avoir le plaisir d'en punir l'infracteur. Ne prendriez-vous pas pour un homme féroce, celui qui ferait périr un malheureux pour s'être laissé tomber dans un précipice la main même qui le punirait viendrait de le jeter? Soyez justes: tolérez le crime, puisque le vice de votre Gouvernement y entraîne; ou si le crime vous nuit, changez la construction du Gouvernement qui le fait naître; mettez, comme je l'ai fait, le Citoyen dans l'impossibilité d'en commettre; mais ne le sacrifiez pas

Monsieur, balbutia Pontis avec des larmes dans les yeux, vous me punissez quand je suis innocent, vous me blessez!... Comment cela, cadet? Vous voyez bien que j'aime tendrement M. Espérance, par conséquent il est inutile de me recommander du respect, c'est un sentiment moins fort que mon amitié.

En vérité! mais la maladie de Jules vous a fait perdre la raison; ne me débitez donc pas de semblables sornettes. Mon Dieu, vous me punissez! je l'ai méritédit le comte avec un geste de désolation en quittant la chambre. La comtesse sonna sa femme de chambre, s'habilla, commanda qu'on servît le dîner et entra au salon avec l'air froid et calme qui lui était habituel.

Peut-etre ai-je merite cela, dit-elle. Il ne faut jamais jouer avec le coeur, c'est le proverbe de mon pays. Or, j'ai joue d'abord avec votre coeur. La premiere fois que mon regard vous a appele, je ne vous aimais pas... Elle prit sa main malgre lui et la porta d'un brusque mouvement jusqu'a ses levres. L'amour est venu, poursuivit-elle. Ne me punissez pas! Je suis maitresse, mais esclave.

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