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Mis à jour: 10 juin 2025
Est-ce que vous allez pleurer maintenant?... ou vous gêner... avec moi. Nous ne sommes pas ici pour nous assommer, je pense?... Je suis confus, mademoiselle... vraiment... de la façon indulgente et charmante... avec laquelle vous tolérez mes excès de langage. Mais vous n'y êtes pas du tout... je ne les tolère pas... je les approuve. Je ne veux pas mourir d'ennui au milieu de ces vêpres.
Comment? Vous tolérez cela! Si j'étais encore au ministère de la justice!...
L'existence prolongée dans votre ville d'un noyau de rebelles, que vous y tolérez par faiblesse, ne permet plus au général d'hésiter sur les moyens
Sans heurter de front les préjugés des indigènes en nommant tout d'abord les créoles, Léon parla des métis, et ajouta que leur nombre était immense dans les familles coloniales. La fusion s'opère dans la personne de mon fils Gabriel. Vous tolérez qu'il soit issu d'un gouverneur espagnol et fils d'un officier français.
L'adultère est sous votre toit; et vous le tolérez! Le crime s'accomplit sous vos yeux, et vous détournez le regard? Êtes-vous une épouse? une chrétienne? une mère? Elle sanglotait: Que voulez-vous que je fasse? Il répliqua: Tout plutôt que de permettre cette infamie. Tout, vous dis-je. Quittez-le. Fuyez cette maison souillée.
Sans doute, reprit le prêtre en souriant. Je vous répète que les jeunes gens doivent pouvoir se réunir pour causer ensemble, fumer des cigarettes, jouer même une partie de billard ou d'échecs.... Ils se permettront tout, si vous ne leur tolérez rien.... Seulement, vous devez bien penser, que je ne les enverrais pas dans tous les cafés. Je voudrais pour eux un établissement particulier, un cercle, comme j'en ai vu dans plusieurs villes. Et il développa tout un plan. M. Maffre, peu
»J'ai oublié si vous admirez ou tolérez les cheveux rouges, en sorte que j'ai peur de vous montrer ce qui m'approche et m'environne dans cette ville. Venez néanmoins, vous pourrez faire
Cependant, je l'avoue, toutes les infractions ne sont pas anéanties; il faudrait être un Dieu, et travailler sur d'autres individus que l'homme, pour absorber entièrement le crime sur la terre; mais comparez ceux qui peuvent rester dans la nature de mon Gouvernement, avec ceux où le Citoyen est nécessairement conduit par la vicieuse composition des vôtres. Ne le punissez donc pas quand il fait mal, puisque vous le mettez dans l'impossibilité de faire bien; changez la forme de votre Gouvernement, et ne vexez pas l'homme, qui, quand cette forme est mauvaise, ne peut plus y avoir qu'une mauvaise conduite, parce que ce n'est plus lui qui est coupable, c'est vous... vous, qui pouvant l'empêcher de faire mal en variant vos loix, les laissez pourtant subsister, toutes odieuses qu'elles sont, pour avoir le plaisir d'en punir l'infracteur. Ne prendriez-vous pas pour un homme féroce, celui qui ferait périr un malheureux pour s'être laissé tomber dans un précipice où la main même qui le punirait viendrait de le jeter? Soyez justes: tolérez le crime, puisque le vice de votre Gouvernement y entraîne; ou si le crime vous nuit, changez la construction du Gouvernement qui le fait naître; mettez, comme je l'ai fait, le Citoyen dans l'impossibilité d'en commettre; mais ne le sacrifiez pas
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