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Mis à jour: 30 juin 2025
Pouchkine fit ces traductions entre l'automne 1832 et le printemps 1833, mais il ne les publia que deux années plus tard, dans une revue de Saint-Pétersbourg, la Bibliothèque de Lecture . Quelques mois après cette publication, il les inséra au tome IV de ses Poésies, en y joignant un certain nombre de notes et une très intéressante préface . Le poète russe reconnaissait avec une entière bonne foi qu'il avait cru
Aujourd'hui, l'histoire de la Guzla intéresse plus que les poèmes qu'elle contient; on la connaît surtout par les anecdotes qui s'y rapportent; quand on parle du Mérimée des premières années, c'est pour raconter l'histoire du docteur allemand «qui avait découvert le mètre de l'original serbe sous sa prose», ou pour dire que le «savant anglais» M. Bowring s'y était laissé prendre, ou pour plaisanter enfin sur ce naïf Pouchkine qui traduisit en russe quelques historiettes de la Guzla.
Ses auditrices louèrent fort sa voix et sa musique, mais s'extasièrent surtout sur la douceur et la sonorité de la langue russe, et le prièrent de leur traduire les paroles. Comme ces deux chansons ne pouvaient donner une très haute idée de la poésie russe, Sanine préféra déclamer la romance de Pouchkine: Je me rappelle un instant divin, qu'il traduisit et chanta. La musique était de Glinka.
«Enfin, M. Pouchkine a traduit en russe quelques-unes de mes historiettes, et cela peut se comparer
Pouchkine ne fut pas le seul poète slave qui prit la Guzla pour une collection de chants serbes authentiques. Trois ans avant lui, un jeune Polonais qui devait plus tard enseigner les littératures slaves au Collège de France, mais qui,
Aussi ce fut pour Pouchkine une consolation de n'avoir pas été la seule dupe de Mérimée; il se trouvait en bonne compagnie. Dans la notice qui précède les Chants des Slaves occidentaux, il raconte, en effet, qu'il avait consulté Mickiewicz
Le souvenir de Kara-Georges massacré brutalement par les pandours, en 1817, était encore vivant. Le caractère romanesque de cet homme de génie, libérateur de son peuple et assassin de sa famille, avait captivé Pouchkine. Le 5 octobre 1820, sept ans avant la Guzla, il écrivit sa poésie À la fille de Kara-Georges.
«La Guzla» dans les pays slaves. § 1. La traduction de Pouchkine. Lettre de Mérimée
Or, nous l'avons vu, le respectable docteur allemand était tout simplement un riche marchand de toiles; le savant anglais ignorait le serbe, et Pouchkine était sans compétence pour juger en pareille matière.
Observons toutefois que cette traduction n'est pas sans rapports avec celle de Pouchkine . À Moscou, Mickiewicz était entré en relations avec plusieurs écrivains russes en renom: les deux frères Polevoï (qui rédigeaient ensemble une revue intitulée le Télégraphe, dont le rôle peut être comparé
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