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Mis à jour: 6 mai 2025
On ne sait pas ce qui est beau quand on est enfant. Ce qui est beau, c'est d'avoir le coeur plein. Quel élan recevait d'un seul coup tout mon être sensible! Les contours de la terre, sans cadre, ne m'avaient pas frappé. Maintenant que, transcrits, ils tenaient sur un carré de papier, voici que je les voyais, non seulement sur la page immobile, mais en plein air, et vivants. La maison avec ses grosses pierres, le jardin clos de murs, je les touchais, je les comprenais, je les possédais, et d'ailleurs, ils m'appartenaient. Mais, au del
Dans la troupe, il s'en trouvait un qui avait habité quelque temps parmi les Tagalocs; il parlait un peu leur langage, que je possédais assez bien. Je profitai de cet heureux hasard, et pendant toute la route je causai avec le sauvage, l'interrogeant sur les usages, les coutumes, les moeurs de ses compatriotes.
Ce genre de vie confirma les habitants dans la haute opinion qu'ils s'étaient faite de mes lumières: malgré ma jeunesse, ils me tenaient pour astrologue et médecin savant; aussi bien, je possédais quelques drogues et une belle trousse d'instruments de chirurgie. Un incident qui eut lieu avant le départ de mon frère aurait dû pourtant leur faire ouvrir les yeux sur mon compte.
Oui, en effet, répliquai-je très vivement, mais jamais je ne vous ai dit que je possédais ce qu'on appelle une fortune; non, que j'avais 100£, ou la valeur de 100£, et que c'était tout ce j'avais au monde; et comment cela s'accorderait-il avec cette prétention que je suis une fortune, dis-je, que je sois venue avec vous dans le nord de l'Angleterre dans la seule intention de vivre
Mais tous ces jeune gens étaient les fils des plus riches maisons d'Anvers, et aucun d'eux peut-être ne possédait pas moins d'un million. Qu'étais-je, au contraire, moi? Un pauvre garçon, le fils d'un sabotier, M. Pavelyn venait de le dire, et, pour toute fortune, je ne possédais qu'un cœur sensible, une foi profonde dans l'art, et quelque espérance d'un avenir glorieux.
«Je vous envoie ci-inclus un échantillon des vieux morceaux qu'on peut encore trouver parmi nos paysans de l'Ouest. Je possédais jadis bon nombre de fragments pareils, et quelques-uns plus complets, mais, comme je n'avais pas la moindre idée que quelqu'un pût se soucier d'eux, je les ai oubliés. Je considère fermement comme un sacrilège de rien ajouter qui soit de moi pour rétablir les épaves disloquées de ces vénérables vieilles compositions; mais elles ont maintes versions différentes. Si vous n'avez pas déj
Je possédais justement trois lopins de terre perdus auprès de Sasseville, qui dépendaient de mes trois fermes de Villebon. Les fermiers se plaignaient toujours que c'était loin; bref, j'avais repris ces trois champs, six acres en tout, et, comme mes paysans criaient, je leur avais remis, pour jusqu'
En vrais Mexicains qui font leur métier avec un oeil aux affaires, mes braves adversaires commencèrent par me dépouiller de tout ce que je possédais qui pouvait avoir pour un sou de valeur et me donnèrent, par ci, par l
Je la conquis, cette permission! Je flamboyais, victorieux: Je possédais Amiati! C'était pour ma soirée, un attrait réel, car la haute société n'allait pas
Je ne pouvais marquer trop de reconnaissance pour un ami si généreux et si constant. Je le conduisis chez moi. Je le rendis le maître de tout ce que je possédais. Je lui appris tout ce qui m'était arrivé depuis mon départ de France, et pour lui causer une joie
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