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Mis à jour: 1 juin 2025
Parmi les plus belles statues d'apôtres, nous ne devons pas omettre celles qui sont adossées aux piles intérieures de la Sainte-Chapelle (XIIIe siècle), et qui portent toutes une des croix de consécration . Ces figures sont exécutées en liais, du plus admirable travail, et couvertes d'ornements peints et dorés imitant de riches étoffes rehaussées par des bordures semées de pierreries. Cet usage de placer les apôtres contre les piliers des églises et des choeurs particulièrement, était fréquent; nous citerons comme l'un des exemples les plus remarquables le choeur de l'ancienne cathédrale de Carcassonne du commencement du XIVe siècle. Les apôtres se plaçaient aussi sur les devants d'autels, sur les retables en pierre, en bois ou en métal. Sur les piliers des cloîtres, comme
À l'asile de nuit, la foule commençait d'arriver: chacun prenait une place en silence sur deux étages de planches, dont les rangées traversaient la salle en toute sa longueur. Ils plaçaient sous la tête leur paquet de hardes, s'étendaient et dormaient. Ils entraient, sortaient librement. Quelques-uns,
Pour marquer la puissance du mari sur la femme, les Romains avaient une très-ancienne expression que leurs jurisconsultes ont conservée; c'est le mot manus. Il n'est pas aisé d'en découvrir le sens primitif. Les commentateurs en font l'expression de la force matérielle, comme si la femme était placée sous la main brutale du mari. Il y a grande apparence qu'ils se trompent. La puissance du mari sur la femme ne résultait nullement de la force plus grande du premier. Elle dérivait, comme tout le droit privé, des croyances religieuses qui plaçaient l'homme au-dessus de la femme. Ce qui le prouve, c'est que la femme qui n'avait pas été mariée suivant les rites sacrés, et qui, par conséquent, n'avait pas été associée au culte, n'était pas soumise
Madame Delmer frappée de la beauté, de l'esprit d'Ellénore, et plus encore des malheurs qui la plaçaient dans une fausse position, se prit d'amitié pour elle, l'admit parmi les gens distingués qu'elle recevait, et dont le plus continuellement aimable était le célèbre chevalier de Boufflers.
Donc, les moines laboureurs dressaient des tables de tous côtés; sur ces tables, ils plaçaient avec un innocent orgueil les fruits de leurs travaux, beau pain de froment de leurs terres, vin généreux de leur vignoble, quartiers de boeufs et de moutons de leurs étables, fruits et légumes de leurs jardins, laitage de leurs troupeaux, miel de leurs ruches. Cette abondance, ils la devaient
Ces chants guerriers étaient des sons incohérents, mais non formés au hasard. Les danseurs reproduisaient avec une fidélité parfaite les cris et les hurlements des animaux féroces dont ils mettaient le masque sur leur tête. Deux bandes de guerriers se plaçaient en présence et, tout en gardant une certaine cadence, ils représentaient un combat, se précipitant et reculant par bonds.
Le soir, après la prière, les matelots entonnèrent d'eux mêmes le Salve regina, chant religieux si cher aux marins d'autrefois, qui se plaçaient toujours sous la protection de la divine Marie!
Ils plaçaient toujours la vieille impotente sous la clarté crue de la lampe, afin de bien éclairer son visage et de l'avoir sans cesse devant eux. Ce visage, mou et blafard, eût été un spectacle insoutenable pour d'autres, mais ils éprouvaient un tel besoin de compagnie, qu'ils y reposaient leurs regards avec une véritable joie. On eût dit le masque dissous d'une morte, au milieu duquel on aurait mis deux yeux vivants; ces yeux seuls bougeaient, roulant rapidement dans leur orbite; les joues, la bouche étaient comme pétrifiées, elles gardaient une immobilité qui épouvantait. Lorsque Mme Raquin se laissait aller au sommeil et baissait les paupières, sa face, alors toute blanche et toute muette, était vraiment celle d'un cadavre; Thérèse et Laurent, qui ne sentaient plus personne avec eux, faisaient du bruit jusqu'
Le 4 octobre 1716, M. de Bienville recevait de France des lettres qui le plaçaient
La comtesse d'Escars fut celle qui d'abord se mit le plus en évidence. Un esprit très-remarquable, une instruction étendue et un dévouement historique pour les Bourbons l'y plaçaient naturellement. Napoléon l'avait lui-même mise sur un piédestal en la persécutant. Voici son histoire.
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