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Mis à jour: 15 mai 2025
Telle était, en effet, la leur. D'anciennes relations de même origine et de même goût, M. de Boufflers, M. Dupont de Nemours, M. Gallois, etc., quelques académiciens dont M. Suard avait appuyé la candidature, et qui lui formaient un petit parti dans l'Académie, quelques jeunes gens dont il encourageait le talent avec une bienveillance qui n'avait rien de banal, quelques membres du Sénat ou d'autres corps, qui faisaient profession d'indépendance, quelques étrangers qui ne se seraient pas pardonné de quitter Paris sans avoir connu les derniers contemporains de Voltaire et de ce siècle dont la gloire a pénétré plus loin que celle d'aucun autre, voil
Le roi lui avait donné l'ancien appartement de cette pauvre comtesse de Mailly, et chaque soir il y soupait avec elle. Les convives étaient alors Richelieu, Boufflers, d'Ayen, la marquise de Bellefond et madame de Lauraguais, dont la destinée fut toujours d'être l'amie des favorites qui se succédèrent dans la couche royale.
Ce n'étoit pas assez pour lui d'être le plus illustre des gens de lettres; il vouloit être homme de cour. Dès sa jeunesse la plus tendre, il avoit pris la flatteuse habitude de vivre avec les grands. D'abord, la maréchale de Villars, le grand-prieur de Vendôme, et, depuis, le duc de Richelieu, le duc de La Vallière, les Boufflers, les Montmorency, avoient été son monde. Il soupoit avec eux habituellement, et l'on sait avec quelle familiarité respectueuse il avoit l'art de leur écrire et de leur parler. Des vers légèrement et délicatement flatteurs, une conversation non moins séduisante que ses poésies, le faisoient chérir et fêter parmi cette noblesse. Or, cette noblesse étoit admise aux soupers du roi. Pourquoi lui n'en étoit-il pas? C'étoit l'une de ses envies. Il rappeloit l'accueil que Louis le Grand faisoit
Le pauvre M. de Luxembourg, homme doux et très-éteint, ami personnel du Roi, fort tristement employé aux violences de Rouen, était un étrange ami pour Rousseau. Mais combien plus la fée de ce lieu enchanté, la tragique et sinistre Alcine, madame de Luxembourg! Avec un esprit délicat, elle avait le coeur le plus noir, une malice perverse et profonde. Longtemps effrénée Messaline, elle avait marqué encore plus comme type du Méchant femme. Née Villeroi, et maîtresse effrontée de son frère, elle usa un premier mari (Boufflers). Pour s'en faire un second d'un homme déj
Le père Bougeant s'est immortalisé par son charmant ouvrage Sur le langage des bêtes, qui a été traduit en italien. Les yeux ont une rhétorique connue de tout le monde. Les mains ont leur idiome; les pieds des amans font merveille dans leur mystérieux quatuor sous la table; les genoux s'en mêlent aussi; les fleurs parlent en Asie; et les coeurs, les coeurs! on sait combien ils sont éloquens, bavards et tyrans. J'en dirais long sur ce chapitre, et l'ami Boufflers, qui a dit de si jolies choses sur le coeur, embellirait bien mon texte. Doit-on être surpris, d'après cela, que les tétons aient aussi reçu de la nature un organe expressif, et des moyens oratoires? Non, sans doute; ils ont une langue, et Le Pays est mon autorité, dans le récit d'un songe qu'il fit sur deux beaux tétons. Il écrit
Messieurs, les choses affreuses que je viens de rappeler s'accomplissaient au milieu d'une société polie; la vie était gaie et légère, on allait et venait, on ne regardait ni au-dessus ni au-dessous de soi, l'indifférence se résolvait en insouciance, de gracieux poëtes, Saint-Aulaire, Boufflers, Gentil-Bernard, faisaient de jolis vers, la cour était pleine de fêtes, Versailles rayonnait, Paris ignorait; et pendant ce temps-l
L'Anthologie des poètes du XIXe siècle s'ouvre sur un poète du XVIIIe, André Chénier. M. André Lemoyne, dans la première des notices qui précèdent les morceaux choisis, s'est chargé de donner les raisons pour lesquelles le fils de la Grecque est représenté en tête d'un recueil réservé aux ouvrages d'un âge qu'il n'a point vu. La première raison est d'ordre chronologique. Les oeuvres d'André Chénier, dit M. André Lemoyne, sont posthumes et furent publiées dans notre siècle. En effet, Latouche en donna l'édition originale en 1819. Cette raison peut paraître suffisante. On se demandera seulement si, d'après le même principe, certaines poésies de Parny, de Ducis, de l'abbé Delille, du chevalier de Boufflers, etc., publiées postérieurement
Malgré la perte de généraux incomparables, la France avait encore de grands hommes de guerre; Luxembourg, Catinat, Boufflers, de Lorges, Tourville, Jean Bart, Château-Renaud, d'Estrées et Duguay-Trouin. On venait de remporter de grandes victoires; sur terre,
[Note 432: La comtesse de Boufflers
La défense de Gênes par M. de Boufflers est un événement militaire que les gens de l'art admirent et étudient encore. Il fit toutes ses opérations
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