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Mis à jour: 13 mai 2025
On vient d'afficher une proclamation de l'Impératrice: «Vous me verrez la première au danger pour défendre le drapeau de la France.» Des phrases comme ça vous réconfortent, dit Mme Pion. C'est capable de réchauffer les plus froids. Pour sûr, répond M. Legros qui s'éponge avec énergie. Mon père lit le journal du jour. «Les Prussiens sont
Les Latins, reprenait le bonhomme, appelaient cela le jeu des latrunculi ou petits voleurs... Les Grecs le nommaient zatrikion. Sarrazin fait observer dans son excellent livre... Monsieur le marquis, interrompit Philippe de Gonzague, je vous demande pardon de ma distraction... me permettez-vous de relever cette pièce? Par mégarde, il venait d'avancer un pion qui lui donnait partie gagnée.
Veux-tu me répondre, oui ou non? Est-ce Mme Pion qui t'a donné ce raisin? Oui, papa. Alors, tu acceptes quelque chose d'un bonapartiste? Tu manges des raisins badingueusards? Tu n'as pas honte? J'essaye de sauver mon raisin. Si, papa, j'ai honte. Alors, jette ta grappe. J'hésite. Quel dommage! De si bon raisin! Jette ta grappe!
Et prenant le journal, il lut ces lignes, marquées au crayon bleu: «Un vulgaire pion dreyfusard, l'intellectuel Bergeret, qui croupissait en province, vient d'être chargé de cours
M. Brunetière est très intelligent (je donne ici au mot toute sa force). Des adolescents le traitent de pion et disent: «Il ne comprend pas.» Au contraire, il est visible qu'il comprend toujours; mais souvent il n'aime pas. Il a beaucoup d'aveux comme celui-ci: «Ce que l'on ne peut pas disputer au réalisme, naturalisme, impressionnisme, ou de quelque autre nom qu'on l'appelle, c'est qu'il n'y a de ressource, de salut et de sécurité pour l'artiste et pour l'art que l'exacte imitation de la nature. L
Ah! bien, cria le gringalet de pion, sans laisser au proviseur le temps de répondre, les autres soirs, vous avez pourtant mangé presque tout le plat
Voyez, cher vieux pion,
Et mon père, dans une attitude de faiseur de poids, les jambes écartées, le bras droit tendu, semble menacer M. Pion, appuyé au mur, les mains dans ses poches. C'est
C'est le petit pion qui s'est souvenu, en se levant, qu'il m'avait oublié, et qui vient voir si j'ai été dévoré par les rats, ou si c'est moi qui les ai mangés. Il a l'air un peu embarrassé, le pauvre homme! Il me retrouve gelé, moulu, les cheveux secs, la main fiévreuse; il s'excuse de son mieux et m'entraîne dans sa chambre, où il me dit d'allumer un bon feu et de me réchauffer.
Tous les soirs, chez nous, il y a de grandes discussions politiques et stratégiques entre mon père, M. Pion et M. Legros. L'épicier-marchand de tabac tranche de l'important maintenant, et veut avoir des idées
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