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Mis à jour: 22 juillet 2025


Vous exagérez, répond M. Legros. Mais il est certain que nos populations sont bien abattues. Et si deux régiments de Prussiens, seulement, se présentaient devant Versailles, nous n'aurions qu'

Cela veut dire que je désire savoir si tu crois que, une fois séparées l'une de l'autre, les deux parties du corps du décapité souffrent encore. Tiens! dit Legros, tu me fais juste la même question que le citoyen Marat m'a déj

Nous partons. M. Legros, qui n'a justement rien

Des populations sans défense! s'écrie amèrement M. Legros. Je crois bien! On nous enlève jusqu'

M. Legros a un grand tableau aux Reçus et un petit portrait aux Refusés. Ce portrait est très-bien; mais il doit faire peur aux membres du Jury, en les poursuivant comme un remords. Pourquoi l'a-t-on mis

«Signé: LEGROS, de la section du RouleLe tribunal révolutionnaire était entré en fonctions et jetait autour de lui l'épouvante. Cette institution était une arme

Et elle désigne un café, de l'autre côté de la rue, dont le propriétaire, en bras de chemise, regarde la scène tranquillement, du pas de sa porte. Jamais de la vie! s'écrie M. Legros. Un mauvais soldat qui renie son drapeau! Rien! rien! qu'il crève comme un chien!... Il nous entraîne

Tous des blessés prussiens, murmure le concierge; on ne met pas de Français ici. Ah! dit M. Legros, tout bas, si l'on pouvait les achever! Le concierge nous donne des détails. D'après lui, toutes les nuits, on emporte des cinquantaines de cercueils. Les Prussiens enterrent leurs morts la nuit pour ne pas laisser voir leurs pertes.

M. Legros croise les bras, et regardant mon père bien en face: La France vient d'essuyer une horrible défaite. L'Empereur a été fait prisonnier avec 80,000 hommes. Ma soeur pousse un cri, pendant que mon père reste bouche bée. Des gens nous entourent qui ont l'air de se demander comment nous pouvons être assez bêtes pour ignorer des choses pareilles.

Je serre la main de Jules, qui serre la main de mon père et celle de M. Legros. Il s'approche de ma soeur. Allons, embrassez-vous, fait mon père. Louise avance son front et Jules y dépose un baiser... La locomotive siffle et les voyageurs, après un dernier adieu, se précipitent vers les wagons. Nous revenons. Louise a les larmes aux yeux des larmes de crocodile. Mme Arnal lui remonte le moral.

Mot du Jour

qu'oublieuse

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