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Mis à jour: 10 mai 2025
M. de Chambrais resta bouche ouverte, et son visage exprima l'émotion en même temps que la contrariété: Certainement, dit-il, j'aime Ghislaine, elle le sait, comme je sais qu'elle m'aime; mais enfin, vous me permettrez bien de m'aimer aussi un peu, moi, et de penser
Après avoir long-temps examiné l'état d'Isaure, le docteur déclara qu'il lui paraissait moins alarmant que la veille, mais qu'il ne pouvait répondre de rien avant la fin du neuvième jour. En écoutant ces mots, la plus vive terreur se manifesta dans les yeux de la comtesse; elle pensa que, par pitié pour elle, le docteur n'osait prononcer la sentence d'Isaure, et qu'il voulait la préparer au coup fatal par trois jours d'anxiété; et pénétrée de cette horrible pensée, toute son attitude semblait dire: «Où vais-je passer ces trois jours de supplice.» Valentine comprit son silence, et dit en lui serrant la main: «Rassurez-vous, ma soeur, nos soins la sauveront. Quoi, s'écria la comtesse, en se précipitant aux genoux de Valentine, vous permettrez que je ne la quitte pas! vous,
Vrai? est-ce que vous les trouvez jolis? reprit Dora en riant; je suis si contente qu'ils soient jolis! Petite glorieuse!» lui dis-je. Mais non, ce n'était pas de la vanité, c'était une joie naïve de se sentir admirée par moi. Je le savais bien avant qu'elle me le dit: «Si vous les trouvez jolis, dites-moi que vous me permettrez toujours de vous regarder écrire! dit Dora; les trouvez-vous jolis?
M. de Camors, qui avait écouté ce dialogue avec un calme impassible, se leva. Merci encore, madame, dit-il, et pardon... Ainsi vous me permettrez de vous confier de temps en temps mes peines ou mes espérances politiques? Certainement, monsieur. Il la salua et se retira.
Il parut très-etonné. Il n'avait pas changé, croyait-il. Mais elle se rapprocha, et d'une voix amicale: Voyons, mon cher curé, vous me permettrez de vous parler
Voici la collection de la Vie Parisienne, monsieur, me dit M. Le Mesge, usez-en, si elle vous intéresse, tandis que je m'entretiendrai avec votre ami. Monsieur, répondis-je assez vertement, il est vrai que je n'ai pas été l'élève de Berlioux. Vous me permettrez néanmoins d'écouter votre conversation: je ne désespère pas de la trouver intéressante. A votre aise, dit le petit vieux.
Le lendemain, le Figaro publiait la lettre suivante de M. de Broglie: Monsieur, je lis dans le Supplément du Figaro de ce matin, 7 mars, un article intitulé: Confession de M. de Talleyrand au diable et signé TALLEYRAND. Ce document n'a aucun caractère d'authenticité. Vous me permettrez d'en avertir vos lecteurs, bien que je croie qu'ils n'ont pu se faire d'illusion
Ce désintéressement est fort édifiant, mon très estimé monsieur Sharp, dit-il, mais moi qui n'ai pas les mêmes raisons que vous, et il appuya sur ces derniers mots, de ne pas aspirer aux libéralités du Tzar, vous me permettrez de compter, n'est-ce pas, sur votre appui pour retirer de cette affaire quelque bénéfice.
Ah! cela, vous me permettrez de n'en rien croire, chère Majesté, dit La Mettrie. Vous avez été la voir, donc elle ne pleure plus. Vous êtes bien curieux, Panurge, de savoir le but de ma visite? Et vous aussi, d'Argens, qui ne dites rien, et qui avez l'air de n'en pas penser davantage? Et vous aussi, peut-être, cher Voltaire, qui ne dites mot non plus, et qui n'en pensez pas moins, certainement?
Hélas! mon ami, l'époque est triste, et mes contes, je vous en préviens, ne seront pas gais. Seulement, vous permettrez que, lassé de ce que je vois se passer tous les jours dans le monde réel, j'aille chercher mes récits dans le monde imaginaire. Hélas! j'ai bien peur que tous les esprits un peu élevés, un peu poétiques, un peu rêveurs, n'en soient
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