Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 7 juillet 2025


Pour toutes ces raisons, la plèbe augmentait en nombre. La lutte qui était engagée entre les patriciens et les rois, accrut son importance. La royauté et la plèbe sentirent de bonne heure qu'elles avaient les mêmes ennemis. L'ambition des rois était de se dégager des vieux principes de gouvernement qui entravaient l'exercice de leur pouvoir.

Cependant, quoique les propriétés rentrassent dans la communauté, les personnes restèrent dans l'ordre particulier que leur avoient assigné leurs moyens distingués. Elles avoient donné des preuves trop évidentes de leur supériorité pour qu'elles eussent la fausse modestie de ne pas se croire véritablement dans une classe supérieure. Ce sentiment n'étoit pas de l'orgueil, mais une juste conscience de leur valeur. Dans tous les grands états de la terre, cette différence entre les facultés morales auroit créé, comme chez les Romains, un ordre de Patriciens, qui, s'imaginant être privilégiés par la nature, se seroient arrogé tous les pouvoirs et tous les honneurs; mais les habitans du Vallon aérien, qui avoient le plus de droits

PATRICIENS. Origine de la classe des patriciens; leur privilège sacerdotal; leurs privilèges politiques. Leur lutte contre les rois; leur résistance aux efforts de la plèbe. PATRIE. Sens de ce mot. Ce qu'était primitivement l'amour de la patrie; ce que ce sentiment devint plus tard. PATRUUS et avunculus. Différence radicale entre la parenté que ces deux mots exprimaient.

Autour de ce trône ressuscité des fils de Louis XIV les salons politiques et littéraires avaient pullulé; il y en avait dans tous les quartiers patriciens de Paris et pour toutes les nuances de l'opinion. La séve de la nation, activée par la liberté, bouillonnait d'indépendance et d'émulation littéraire.

Dans cette population partagée en deux nations ou factions rivales (les plébéiens et les patriciens), leurs forces respectives balancées mettent chaque citoyen dans le cas d'exprimer librement ses sentiments, ses pensées: cette liberté donne aux expressions de l'énergie, de l'étendue; le besoin de persuader perfectionne l'art de présenter les idées; l'homme devient éloquent parce qu'il est libre; la langue acquiert son maximum de perfection; l'esprit produit ses chefs-d'œuvre. Bientôt survient un changement dans l'état des choses et dans la forme du gouvernement: les riches se sont unis pour opprimer, ils se divisent pour régner. Du sein des rivaux s'élève un maître; Rome tremble devant l'imperator entouré de soldats licteurs; les courages ont été brisés par les proscriptions; la terreur est maintenue par les délations. Que deviendra le langage? l'homme n'a plus de sentiments généreux

MARCUS. Par le suffrage et avec les applaudissements unanimes de la nation, des patriciens et des plébéiens, nous créons Saturninus empereur, souverain de Rome, et nous crions vive Saturninus, notre empereur! (Une longue fanfare, jusqu'

Dites-nous quels étaient vos complices? Demandez-les au peuple déplorable que vos crimes patriciens ont conduit au crime. Vous connaissez le Doge?

C'était l'époque des grandes constructions, des assainissements, du luxe extérieur, de la toilette et de l'apparat des rues. Les patriciens agrandissaient leurs hôtels, les nouveaux riches se faisaient construire des demeures plus somptueuses encore; les pignons et les jardins du négociant en denrées coloniales empêchaient le moindre épicier de dormir. Rikka, douée d'un flair israéliste, doublait, quadruplait, décuplait leur avoir. Des spéculations en terrains portaient leur fortune

MARCUS. Titus, tu demanderas l'empire, et tu l'obtiendras. SATURNINUS. Orgueilleux et ambitieux tribun, peux-tu oser... MARCUS. Modérez-vous, prince Saturninus. SATURNINUS. Romains, rendez-moi justice. Patriciens tirez vos épées et ne les remettez dans le fourreau que lorsque Saturninus sera empereur de Rome.

Il y aurait eu peu de mal si les plébéiens s'étaient contentés de priver les patriciens de leurs prérogatives, et s'ils ne les avaient pas offensés dans leur qualité même de citoyen. Lorsque le peuple était assemblé par curies ou par centuries, il était composé de sénateurs, de patriciens et de plébéiens. Dans les disputes, les plébéiens gagnèrent ce point que seuls, sans les patriciens et sans le sénat, ils pourraient faire des lois qu'on appela plébiscites; et les comices on les fit s'appelèrent comices par tribus. Ainsi il y eut des cas les patriciens n'eurent point de part

Mot du Jour

qu'oublieuse

D'autres à la Recherche