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Mis à jour: 30 avril 2025
Le petit temple de Nikè Apteros, ainsi que nous le rappelle M. Stillman, a eu un destin unique en son genre. De même que le Parthénon, il était encore debout il y a deux cents ans, mais il fut rasé pendant l'occupation turque, et toutes les pierres en furent employées dans la construction du grand bastion qui couvrait le front de l'Acropole et fermait l'escalier montant aux Propylées.
«Si en France nous n’avions pas, sur l’enseignement, les idées les plus singulières, nous commencerions, lorsqu’il s’agit de l’étude de l’architecture, par le commencement et non par la queue. Nous donnerions aux jeunes gens ces méthodes pratiques élémentaires de l’art de bâtir, avant de leur faire copier le Parthénon ou les thermes d’Antonin Caracalla qui,
L'art au service d'une religion de la mort, d'une morale qui prescrit l'annihilation de la chair, doit rencontrer et chérir le laid. La (p. 226) laideur volontaire est un sacrifice, la laideur naturelle une occasion d'humilité. La pénitence est laide, le vice plus laid. Le dieu du péché, le hideux dragon, le diable, est dans l'église, vaincu, humilié, mais il y est. Le genre grec divinise souvent la bête; les lions de Rome, les coursiers du Parthénon sont restés des dieux. Le gothique bestialise l'homme, pour le faire rougir de lui-même, avant de le diviniser. Voil
Aujourd'hui de Jérusalem il reste un gibet, le Calvaire; d'Athènes, une ruine, le Parthénon; de Rome, un fantôme, l'empire romain. Ces villes sont-elles mortes? Non. L'oeuf brisé ne représente pas la mort de l'oeuf, mais la vie de l'oiseau. Hors de ces enveloppes gisantes, Rome, Athènes, Jérusalem, plane l'idée envolée. Hors de Rome la Puissance, hors d'Athènes l'Art, hors de Jérusalem la Liberté.
C'est la philosophie d'un honnête homme. Vous entendez bien ce mot. Quand je dis honnête homme, je dis un esprit dont le commerce est doux et sûr, une intelligence qui ne connaît point la peur, une âme souriante et pleine d'indulgence. M. Jules Lemaître est tout cela. En ajoutant qu'il a l'ironie légère et le sensualisme délicat, bien qu'un peu vif, j'aurai fait l'esquisse de son portrait. En dépit de sa belle culture classique, il ne tient pas trop au passé. Nous l'avons bien vu un jour que nous eûmes l'idée de le mener voir, aux beaux-arts, l'Hermès de Praxitèle et les frontons du Parthénon. Nous étions trois mortels devant les vrais dieux et les vraies déesses, et je fus le seul tout
«Quand la dernière des Métopes fut enlevée du Parthénon et pendant son déplacement, une grande partie de l'entablement supérieur avec un des triglyphes fut arraché par les ouvriers de lord Elgin. Le Disdar, qui vit le dommage fait au monument, ôta sa pipe de sa bouche, versa une larme, et, d'un ton de voix suppliant, il dit
L'Hymette et ses beautés arides; toute la côte de l'Attique, ses collines et ses montagnes; Pentélicus, Anchesmus, Philoppapus, etc., etc., sont en eux-mêmes poétiques, et le seraient encore, quand même le nom d'Athènes, des Athéniens et des ruines anciennes serait effacé du souvenir des hommes. Mais dira-t-on que, sans l'art de l'Acropolis, du temple de Thésée, et de tous les glorieux monumens du goût et du génie des Grecs, la nature, en Attique, présenterait plus de poésie? Demandez aux voyageurs ce qui les frappe davantage, du Parthénon ou du rocher sur lequel il est assis? des colonnes du cap Colonna, ou du cap lui-même? des rochers qui s'élèvent
«Bon, je le tiens, pensa Quaterquem. À qui devons-nous, continua-t-il avec enthousiasme, les statues de Rome, les bas-reliefs du Parthénon d'Athènes et tous ces débris des plus beaux monuments de l'antiquité? À qui, si ce n'est
Nous pouvons tous éprouver ou imaginer le regret ou la tristesse avec laquelle on contemple les ruines des cités qui furent autrefois des capitales d'empires. Les réflexions que suggère un semblable sujet ont été faites trop souvent pour qu'il soit nécessaire de les reproduire ici. Mais jamais la petitesse de l'homme et la vanité de ses meilleures vertus, le patriotisme qui exalte son pays et la valeur qui le défend, n'apparaissent avec plus d'évidence que dans le souvenir de ce que fut Athènes et dans la certitude de ce qu'elle est aujourd'hui. Ce théâtre des luttes de factions puissantes, des disputes d'orateurs, de l'élévation et de la déposition des tyrans, du triomphe et de la condamnation des générations, est devenu aujourd'hui une scène de petites intrigues et de perpétuelles dissensions entre les agens tracassiers de certaine noblesse et gentilhommerie bretonne. «Les renards sauvages, les hiboux et les serpens, dans les ruines de Babylone,» étaient sûrement moins déprédateurs que de tels habitans. Les Turcs ont pour leur tyrannie l'excuse de leur conquête, et les Grecs n'ont fait que subir le sort de la guerre, que peuvent subir les peuples les plus braves. Mais comment seraient-ils coupables, quand deux peintres se disputent le privilége de dépouiller le Parthénon, et triomphent tour
La pluie au bassin fait des bulles, Les hirondelles sur le toit Tiennent des conciliabules: Voici l'hiver, voici le froid! Elles s'assemblent par centaines, Se concertant pour le départ. L'une dit: «Oh! que dans Athènes Il fait bon sur le vieux rempart! «Tous les ans j'y vais et je niche Aux métopes du Parthénon. Mon nid bouche dans la corniche Le trou d'un boulet de canon.»
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