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Mis à jour: 17 mai 2025
Dans l'Inde, de parfums, d'or et de soleil pleine, Dans la Chine bizarre, aux tours de porcelaine, Chimérique pays peuplé de dragons verts; Ou vers Otaïti, la belle fleur des ondes, De ses longs cheveux noirs tordant les perles blondes, Comme une autre Vénus, fille des flots amers!
Dans une demeure somptueuse, isolée autant que possible des grossiers contacts de la vie contemporaine, je me la représente cultivant avec amour les sensations les plus curieuses et les plus raffinées dont notre machine nerveuse est capable: sensations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, magnifiques correspondances qui nous furent révélées par nos maîtres, Gautier, Baudelaire, j'allais en oublier d'autres, dont elle-même nous vante les surprises: L'art du toucher, complexe et curieux, égale Le rêve des parfums, le miracle des sons.
L'air frais pénétrait alors dans la hutte avec les mille parfums du lierre, de la mousse, du chèvrefeuille, ranimés par la pluie. Les oiseaux des bois, le rouge-gorge, la grive, le merle s'égosillaient sous le feuillage humide.... C'étaient des frissons d'amour ... des frémissements d'ailes
Mais un des dieux Tritons, pris de pitié, rapporta sur la terre grecque le corps du jeune noyé. Les sirènes peignèrent sa chevelure alourdie par l'eau, lissèrent son front, rouvrirent ses mains crispées. Plusieurs apportèrent de doux parfums de la lointaine Arabie, et d'autres commandèrent
L'odeur de tes parfums nous guidera. Nous tressaillerons et nous nous réjouirons en toi, en nous rappelant tes mamelles plus douces que le vin: tu es l'amour des justes. 2e Acte. L'
L'orgueilleuse paresse des nuits, des parfums et des seins.
Douze enfants, les épaules ailées, me servaient comme une déesse; les uns tenaient un parasol, les autres me mouillaient de parfums, ou brûlaient de l'encens
Le Roman de la Forêt est l'oeuvre d'un forestier, et il faut nous en réjouir. M. Jean Nesmy a vécu longuement dans la forêt champenoise. Il connaît, comprend et aime la forêt. Il vient de lui consacrer un très beau livre, où il traite un sujet inédit: la vie des charbonniers, et où il traduit, avec un art subtil et charmant, les plus menues perceptions de bruits, de parfums, de couleurs. Voici, par exemple, les bois mouillés: «La pluie tombe toujours monotone et têtue,
Alors mon cœur se fondit, Les forces m'abandonnèrent. En vain je porte un bouclier: Que sert de combattre au dehors, Quand l'ennemi est dans la place? Je n'ai cure de Gygès, Le prince de Sardes; L'ambition n'est pas mon fait, Et je n'envie pas les rois. Mon souci, c'est d'arroser Ma barbe de parfums; Mon souci, c'est d'enguirlander Ma tête de roses.
Sur le ravin, l'étang, le pré, le sillon même, Font des taches partout de toutes les couleurs; Et, donnant les parfums, elle a gardé les fleurs; Comme si ses soupirs et ses tendres missives Au mois de mai, qui rit dans les branches lascives, Et tous les billets doux de son amour bavard, Avaient laissé leur trace aux pages du buvard!
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