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Le grand ami d'Aurore, en ces premières années d'enfance, fut un certain Pierret, d'origine champenoise, dont George Sand s'est complu

Le Roman de la Forêt est l'oeuvre d'un forestier, et il faut nous en réjouir. M. Jean Nesmy a vécu longuement dans la forêt champenoise. Il connaît, comprend et aime la forêt. Il vient de lui consacrer un très beau livre, il traite un sujet inédit: la vie des charbonniers, et il traduit, avec un art subtil et charmant, les plus menues perceptions de bruits, de parfums, de couleurs. Voici, par exemple, les bois mouillés: «La pluie tombe toujours monotone et têtue,

Ici, dans cette naïve et maligne Champagne, se termine la longue ligne que nous avons suivie, du Languedoc et de la Provence par Lyon et la Bourgogne. Dans cette zone vineuse et littéraire, l'esprit de l'homme a toujours gagné en netteté, en sobriété. Nous y avons distingué trois degrés: la fougue et l'ivresse spirituelle du Midi, l'éloquence et la rhétorique bourguignonne ; la grâce et l'ironie champenoise. C'est le dernier fruit de la France et le plus délicat. Sur ces plaines blanches, sur ces maigres coteaux, mûrit le vin léger du Nord, plein de caprice et de saillies. À peine doit-il quelque chose

Une autre fois, la centenaire racontait des histoires. Elle disait que dans sa jeunesse les bernardins ne le cédaient pas aux mousquetaires. C'était un siècle qui parlait, mais c'était le dix-huitième siècle. Elle contait la coutume champenoise et bourguignonne des quatre vins avant la révolution.

Et bien, malgré la faim qui lui tordait le ventre, malgré ce froid cruel qui lui arrachait des larmes, le petit Chose était bien heureux, et pour rien au monde il n'aurait cédé cette place, cette demi-place qu'il occupait entre la Champenoise et l'infirmier. Au bout de toutes ces souffrances, il y avait Jacques, il y avait Paris.

Au milieu du feu de la mousqueterie champenoise, beaucoup de toasts furent portés, auxquels il fut fait honneur, même par Léon Milcent. D'abord les toasts

Mon père était Bourguignon, ma mère Champenoise, et dame, il y a dix-huit mois, avant que je vous aie rencontrés, je suivais le côté de ma mère, j'étais Champenois... Mais l'année d'avant, c'était le côté de mon père qui l'emportait, j'étais piéton dans les armées du duc... On avait du bon temps, le pillage rapportait mieux... c'est maigre aujourd'hui, même avec vous!

J'appris qu'il s'appelait Jules de Soulaignes, qu'il était de petite noblesse champenoise. Personnellement, il n'avait pas une très grande fortune. Il était le seul enfant de la comtesse de Soulaignes, restée veuve