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Mis à jour: 14 juin 2025
Alors, le cœur oppressé par la vieille tendresse que l'on a pour sa terre natale, le rude parleur aux joues creuses, au nom d'ouvrier, au masque sévère, baissa le front en frémissant. Deux larmes, pures comme celles que versent les enfants devant leur mère agonisante, bondirent hors de ses yeux dans ses cils et roulèrent, silencieusement, jusqu'aux coins crispés de ses lèvres! Car, s'il est une illusion que même les plus sceptiques, en France, sentent palpiter avec leur cœur, tout
Lève-toi, me disaient-ils avec des rires insolents, et ils brisaient mon sein oppressé en le frappant d'un chalumeau de paille, rompu en forme de fléau, qu'ils avaient dérobé
Harmonieux et fier navire au rythme indolent et vainqueur, ô nef, qui jamais ne chavires, berce ma peine et ma langueur: double voile qu'un souffle presse et qu'une âme parfois oppresse, prends pour passager mon espoir, vogue, ô nef qui sais m'émouvoir! O nef
Mais les sanglots avaient ébranlé la jeune fille, qui n'avait plus sa connaissance. Elle me trompait! reprit la Pâlotte en se croisant les bras et en regardant la jeune fille de son œil sombre. Heureusement que ce mariage n'est pas fait, autrement. Elle alla ouvrir la fenêtre pour respirer, son sein était oppressé.
KENT. Ne vous a-t-elle point fait de question? LE GENTILHOMME. Oui, une ou deux fois elle a soupiré le nom de père en haletant, comme si ce nom eût oppressé son coeur. Elle s'est écriée: Mes soeurs! ô mes soeurs! quelle honte pour des femmes! Mes soeurs! Kent! mon père! Mes soeurs! Quoi! pendant l'orage, pendant la nuit! qu'on ne croie plus
Il fera naturellement juste ce que je voulais lui conseiller de faire. Nous tenons le Champdoce... Le digne M. Hortebize, fort oppressé depuis un moment, eut un gros soupir de satisfaction. Alors, murmura-t-il, je ne vois pas...
«Un chagrin. Mon cher petit chien, mon joli Bijou est malade, si malade que je crains qu'il n'en meure. Pauvre bête! comme il est oppressé, comme il gémit, me lèche les mains et me dit: «Soulagez-moi!» Je ne sais que lui faire, il ne prend rien que quelques gouttes de sirop de gomme qu'il lèche sur mes doigts; c'est ainsi que je le nourris, moitié sucre, moitié caresses. Hélas! que sert d'aimer? je ne le sauverai pas. Cela me ferait pleurer, si je ne renvoyais mes larmes. Pleurer une bête, c'est bête, mais le coeur n'a pas d'esprit ni trop d'amour-propre souvent. Puis mon Bijou est si joli, si gracieux, si gentil, si précieux, me venant de Lili! Un chien, c'est si riant, si caressant, si tendre, si
Mais les minutes s'écoulaient, aucun bruit ne lui arrivait de la pièce voisine. A la fin, elle l'entendit revenir sans lumière, avec le frôlement mou de ses pieds, si oppressé, qu'il ne pouvait contenir le ronflement de son haleine. Et il s'avança, jusqu'au lit, il tâta pour l'y retrouver, lui souffla dans l'oreille: Viens donc, j'ose pas tout seul.
Mieux, répondit-il d'une voix faible. Mon Dieu! qu'est-ce que tu veux? De l'eau, du vinaigre? Non, non, reprit Martial de moins en moins oppressé. De l'air! Oh! de l'air, rien que de l'air! La Louve, au risque de se couper les poings, brisa les quatre carreaux d'une fenêtre qu'elle n'aurait pu ouvrir sans déranger une lourde table.
Le lecteur qui nous a suivis dans le détail de ces intéressantes opérations partage sans doute tous les sentiments qui nous agitaient. Oppressé comme nous par la crainte et l'espérance, il hâte l'instant où nous pourrons enfin tenter notre fuite; nous la fixâmes au mercredi 25 février 1756, veille du jeudi gras.
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