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Je ne sçay dans quelle cognoissance plusieurs Nations Payennes n'ont pas voulu nuyre aux animaux, & se sont abstenus, mesmes d'en manger, peur de nuire

«.... Que Vostre Majesté du service s'enqueste Et de l'honneur de Dieu qui n'est point adoré, le peuple ignorant adresse sa requeste. Vous trouverez, madame, en faisant bonne enqueste, Qu'il a monstré en quoy il veut estre honoré, En quoy il est seroy, en quoy deshonoré, Comment la vie et gloire immortelle s'acqueste. S'il a sa volonté laissée par escrit, Le temps ne sçauroit rien contre elle avoir prescrit Qu'en son premier estat et force il ne remette. A jamais durera l'éternelle bonté; L'usaige n'obtiendra contre sa volonté, Et de le soustenir qui vouldra s'entremette. .......................................... Gardez-vous de penser comme Hérode, le sire Et roy du peuple juif, que, le règne advenant De Jésus-Christ, tous roys et règnes maintenant Viennent de vostre filz la puissance destruire. Ceste erreur feit jadis les innocens occire A Hérode, et pourrait vous nuyre maintenant, Si vous n'allez tousjours ce propos retenant Que Dieu fait et maintient tout règne et tout empire. C'est le roy souverain de tout le genre humain Qui a mis la couronne et le sceptre en la main De Charles, vostre filz qui domine la France. Si Dieu veut que son peuple entende

Mais comme ils furent un soir campez & assis auprés d'un bon feu, ils entendirent japper le Gati, qui leur fust un asseuré signal du voisinage de quelque Lyon, qui parut incontinent aprés & les regarda fixement un assez long-temps, assis sur son derrière sans ozer neantmoins les approcher, car les hommes s'estoient munis de leurs armes & chargé leurs arquebuzes, ce que voyant le petit compagnon tourne bride & le Lyon après sans qu'aucun tirast sur eux, pour nous apprendre que nous ne devons pas mespriser les petits & que si quelqu'un ne nous peut nuyre, il nous peut assister au besoin & empescher qu'on ne nous nuyse par leur advertissement.

Puis male bouche et faulx parlant M'ont grevé tant qu'on seroit dire Sans ce que j'en aye fait semblant Cuidant qui se deussent reduire Ou apaiser ung peu leur yre Mais plus y pert qui plus leur donne Car elles m'en ont voulu plus nuyre Mais maintenant je leur pardonne Damp prieur

J'ay dit que vous fussiez ensemble Mariez beaucop je desire Grant prouffit seroit ce me semble Nompas qu'il le me face dire Je ne te vouldroye pas nuyre Galathee tu le sçais bien Mais plus que a fille de l'empire Je desireroye ton bien Et genus et probitat et forma decens utriusque Mecum concendunt vos simul esse duos.

C'est honte et peché damnable Par fraudes seduire pucelles C'est ung crime vituperable Et ung deshonneur dommaigable S'il en est aucunes nouvelles Je ne sçay dieu le vueille sçavoir Se tu viens pour me decevoir Je vois a la bonne equité Se j'ayme par honnesteté Si n'esse pas pourtant a dire Que me doyves faire seduire Ne par ta grant subtillité Me vouloir en place conduire Que tu sçaiches qui puisse nuyre Au fait de ma virginité

Tu demandes cella que je desire Qui le moyen propre trouver sçauroit Rien au monde plus chier ne me seroit Ne que ayme tant cella ose bien dire Quant mes parens ne vouldroient contredire Et que chascun a ce s'accorderoit Tu demendes cella que je desire Qui le moyen propre trouver sçauroit Mille choses il y a pour y nuyre Que une seulle toutes rapaiseroit Quant pamphille le moyen trouveroit D'y accorder ceulx qui m'ont a conduire Tu demandes cella que je desire Qui le moyen propre trouver sçauroit Rien au monde plus chier ne me seroit Ne que ayme tant cella ose bien dire

Or pour ce qu'une telle guerre pouvoit grandement nuyre & empescher la conversion & le salut de ce pauvre peuple, & que les Neutres sont plus forts & en plus grand nombre que nos Hurons, qui ne peuvent faire qu'environ deux mille hommes de guerre, ou quelque peu d'avantage, & les autres cinq

Que tant plus je vous vieulx de bien, Et, sus ma foy, vous m'estes pire. Ha! ma Dame, si grief martire, Ame ne tire Que moy, dont ne puis mais en rien. C'est par vous, etc. Vostre beaulté vint, de grant tire, A mon oueil dire Que feist mon cueur devenir sien; Il le voulut, s'il meurt? et bien, Je ne lui puis aider, ou nuyre. C'est par vous, etc.

De Soussy vous vueil escripre, C'est ung tres merveilleux sire, Et fault dire Que cellui n'a pas couraige D'omme saige, Qui veult qu'avec lui demeure, Car il ne sert que de nuyre, Et ne pense, ne desire Qu'