United States or Sudan ? Vote for the TOP Country of the Week !


Après cet informe essai d'histoire générale de la France, dont Nicholas pourroit bien être, après tout, seulement le copiste et non l'auteur, Villehardoin composa son admirable relation du voyage de Constantinople, Guillaume de Tyr écrivit l'histoire de la guerre sainte et vit sans doute une partie de la belle traduction françoise qu'on en fit immédiatement. Mais avant un nouvel essai d'histoire générale il faut attendre un demi-siècle. C'est le ménestrel anonyme de l'un des frères de Saint-Louis, Alphonse, comte de Poitiers, qui d'abord entre dans la lice, et je ne sais même si l'on ne doit pas le considérer comme le premier rédacteur de ce qu'on a depuis appelé les Chroniques de Saint-Denis. Il est, du moins, certain que son début est le modèle que suivirent plus tard les autres traducteurs. Il semble même qu'ils se soient contentés d'étendre le réseau qu'avoit d'abord tressé le vieux ménestrel; supprimant les passages dont leurs intercallations ne pouvoient plus s'accommoder, mais respectant toutes les anciennes réflexions et même assez volontiers les contre-sens de la traduction primitive. La Bibliothèque royale a le bonheur de posséder deux leçons de ce précieux travail, le plus ancien est inscrit sous le10298, et l'arbre chronologique des rois de France qui remplit les premiers feuillets et s'arrête

«Pierre! François! Nicholas!... cria tout

Dans une autre était le plus ancien baronnet d'Angleterre, sir Edmund Bacon de Suffolk, héritier de sir Nicholas, et qualifié primus baronetorum Angliae. Sir Edmund avait derrière lui son arcifer portant son arquebuse et son écuyer portant les armes d'Ulster, les baronnets étant les défenseurs nés du comté d'Ulster en Irlande.

Comment! monsieur, comment! éviter l'éclat, dites-vous! Moi, Nicholas Cognard, souffrir qu'une infâme servante me compromette ainsi! Sacré tonnerre! monsieur, savez-vous que je serais homme

Si vous eussiez demandé aux passant le nom de cet infortuné qui finit, après plusieurs années de souffrances, par achever de rendre l'âme dans sa maison déserte, on vous eût dit que c'était Nicholas Cognard qui cherchait sa fille perdue par la coupable ambition d'un père dénaturé.

Mais après tout, l'époque de la rédaction latine importe ici foiblement. Il nous suffit d'avoir de bonnes raisons de présumer que la traduction françoise remonte aux premières années du XIIIème siècle. L'écriture d'abord accuse cette date, et de plus la chronique de Turpin, que le même scribe Nicholas de Senlis a traduite ou copiée, est dédiée au comte de Saint-Pol et

Au gouverneur Iversen succéda en 1679 Nicholas Esmit, élu par la Compagnie danoise des Indes occidentales. À cette époque le défaut de bras se faisant sentir, Christian V acheta en Afrique, du roi d'Aquambou, les deux forts de Frédéricksbourg et de Christianbourg sur la Côte-d'Or, et y envoya des navires acheter des esclaves pour Saint-Thomas. Dans le but d'aider la Compagnie, le roi ordonna