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Mis à jour: 28 juin 2025


-Quand vous voudrez et tant que vous voudrez, mon pauvre cher garçon; je vous payerai votre voyage, votre séjour, tout. O signor! s'écria Paolo, vous êtes bon, vraiment bon et zénéreux! Alors ze pourrai partir demain? Certainement, mon ami, répondit M. de Nancé en riant de cet empressement. Demandez malles, chevaux, voiture, quand vous voudrez.

Quand François retourna le lendemain chez Maurice, et lui fit part de l'invitation de M. de Nancé, le visage de Maurice exprima une telle joie, une telle reconnaissance, que François en fut touché. Il remercia François dans les termes les plus affectueux, et annonça le départ de sa mère pour le lendemain matin, parce qu'on avait reçu de mauvaises nouvelles de son grand-père.

Signora, de grâce! laissez-moi avec M. de Nancé mon bon ami. Ze souis trop bête pour etre un roi. Ça ne fait rien, Assuérus était très bête. Vous allez coucher ici; je vous emmènerai demain avec moi. Brigitte, faites préparer un lit pour M. Paolo, je l'emmène

Ma tante s'est chargée d'écrire et de l'avoir». Lorsque M. de Nancé reçut cette réponse de Christine, lui aussi eut les yeux pleins de larmes de joie et de reconnaissance; la tendresse si dévouée, si absolue de Christine le toucha profondément. Il appela François. La réponse de Christine, mon fils. Que dit-elle, mon père? Consent-elle? M. DE NANC

Les beaux jours du printemps arrivèrent et rendirent la campagne encore plus agréable aux habitants du château de Nancé; Paolo était devenu l'homme indispensable. Dévoué, affectionné comme un chien fidèle, il était toujours prêt

Les chevaux étaient mis, les malles étaient chargées. Les domestiques étaient d'une tristesse mortelle; personne ne put prononcer une parole. M. de Nancé, François et Paolo leur serrèrent la main

M. de Nancé alla voir M. et Mme des Ormes; il leur représenta qu'il était obligé de mener son fils dans le Midi pour sa santé et pour d'autres motifs; qu'il était impossible qu'il emmenât Christine avec lui, et que, malgré le vif chagrin que leur causerait

Christine sauta dans la voiture près de M. de Nancé; François s'élança en face d'elle; Isabelle, près de lui: et M. de Nancé, souriant de l'inquiétude de François et de Christine, dit au cocher d'aller bon train.

Christine et François sautaient et battaient des mains dans leur joie; M. de Nancé rit de bon coeur de la résolution de Christine. Chacun avait compris son bonheur et se livrait

Effectivement, Mme des Ormes, ne pouvant attendre patiemment l'arrivée de M, de Nancé, accourait comme une jeune personne de quinze ans, cueillant une fleur, poursuivant un papillon, gambadant et pirouettant.

Mot du Jour

l'égaierait

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