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Mis à jour: 28 juin 2025


Maurice s'élança et tomba maladroitement, moitié sur les matelas et moitié sur le pavé. M. de Nancé se baissa pour le retirer et faire place

«Il faut, disait-elle, que je vous présente un nouveau voisin de campagne, M. de Nancé, qui est charmant; et un demi-médecin italien, fort original, qui vous amusera; il me fait savoir, par un billet attaché au collier de mon chien de garde, qu'il viendra chez moi demain. Amenez-nous Christine; Gabrielle vous le demande instamment

De tout mon coeur, chère Madame: quand faut-il que je vienne la prendre? Tout de suite! Remmenez-la, et envoyez votre carriole pour ses effets, qu'Isabelle mettra dans une malle. Adieu, Christine; adieu, ma fille; sois bien sage, bien obéissante; ne fais pas enrager ce bon M. de Nancé, qui veut bien de toi. Au revoir, dans six ou sept mois.

M. de Nancé ne tarda pas

Pardonnez-moi; je vous accepte pour esclave et je vous traiterai en bonne maîtresse. Adieu. mon esclave. Je m'amuse beaucoup, je donne des bals; je danse toute la nuitFolle! dit M. de Nancé en levant les épaules. Que je suis heureux d'avoir pu tirer ma chère Christine de cette maison de folie et de dissipation!

Le lendemain, de grand matin, M. et Mme de Sibran, inquiets et tremblants, entraient précipitamment chez M. de Nancé. Il leur apprit avec tous les ménagements possibles la triste et douce fin de leur fils. Le désespoir des parents fut effrayant. Ils se reprochaient de n'avoir pas deviné le danger, de l'avoir abandonné le dernier mois de son existence, de l'avoir laissé mourir dans une famille étrangère. Ils demandèrent

Lorsque Christine se trouva seule avec la supérieure, qu'elle fut assurée de ne plus revoir M. de Nancé ni François, son courage faiblit et elle se laissa aller

C'est M. de Nancé qui m'a placée ici, et j'y resterai tant qu'il désirera que j'y reste. Je pleure leur absence; loin de mon père et de mon frère, il n'y a pour moi que tristesse et isolement. MADAME DE C

Ils restèrent longtemps près de Maurice sans qu'on pût les en arracher. M. de Nancé se rendit près d'eux et parvint

M. de Nancé fut obligé d'arracher la malheureuse Christine d'auprès de François pour la porter dans la voiture. M. de Nancé soutint sa fille presque inanimée. La tête appuyée sur l'épaule de son père, Christine sanglota longtemps.

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