United States or North Macedonia ? Vote for the TOP Country of the Week !


En résumé, on aurait difficilement trouvé des gens aussi satisfaits d'eux-mêmes que l'étaient monsieur, madame et mademoiselle Jujube. De quel côté allez-vous, cher maître? demanda Marocain. Ça m'est égal, je ne vais nulle part; pourquoi? Ah! vous n'ayez pas de parapluie? Eh bien, je vais vous reconduire. Marocain accepta avec d'autant plus d'empressement qu'il attendait l'offre.

«Eh bien, n'ayez pas peur, dit M. Brownlow en reprenant son sérieux; nous ne ferons pas de vous un auteur tant qu'il y aura un honnête métier

Les épines ne sont rien, dit M. d'Astarac. Mais je crains, monsieur l'abbé, que vous n'ayez marché sur la mandragore. Pour cela, dit l'abbé, c'est bien le moindre de mes soucis. Vous avez tort, reprit M. d'Astarac avec vivacité. Il suffit de poser le pied sur une mandragore pour être enveloppé dans un crime d'amour et y périr misérablement.

«Je vous ai écrit avant-hier. Votre lettre aujourd'hui me fait un extrême plaisir. Vous allez continuer les eaux, vous faites bien; prenez courage, n'ayez rien

Madame Dérigny: «Le bon Dieu ne permettra pas que cet excellent général meure sans avoir le temps de se reconnaître. N'ayez pas de si terribles pensées, mes chers enfants; ayons confiance en Dieu, toujours si bon pour nous. Espérons pour le mieux, et remplissons notre devoir jour par jour, sans songer

Oui, mais nous ferons en sorte que vous n'ayez plus de ces sombres pensées. Notre tendresse ne vous en laissera pas le temps, ma chère Marie, reprit Rodolphe, car vous savez que je vous ai donné ce nom...

Ce qui m'étonne, c'est que vous n'ayez pas pensé

D'abord, êtes-vous bien sûr que le cadavre des fossés fût celui de ce digne moine? Parfaitement sûr, et vous-même, Pardaillan, l'avez reconnu, bien que vous n'ayez vu cet homme que peu d'instants... Oui, ce fut lui qui me conduisit

Le jeune homme répondit d'un ton suppliant: Mon père, je vais vous quitter, peut-être pour plusieurs années. Je puis juger par ma propre douleur combien vous seriez affligé si je partais pour l'Amérique sans avoir pris d'abord congé de vous, et sans vous avoir donné l'assurance que ni le respect ni l'amour de mon bon père ne se sont affaiblis dans mon cœur. Vous ne souhaitez que mon bien-être, j'en suis convaincu, mais vous vous trompez sur les moyens de me rendre heureux. Je suis dominé par une nécessité implacable, et je dois fuir une destinée qui m'inspire de l'effroi, Que mon éloignement temporaire ne vous afflige pas trop, et n'ayez nulle crainte quant au sort qui m'attend. Je ne cesserai point de penser

Honrine: Vous me faites rire, madame Lepic; n'ayez pas crainte; la jambe et le bras vont encore. Madame Lepic: Vous vous courbez un peu, il est vrai, mais quand le dos s'arrondit, on lave avec moins de fatigue dans les reins. Quel dommage que votre vue baisse! Ne dites pas non, Honorine! Depuis quelque temps, je le remarque. Honorine: Oh! j'y vois clair comme