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Mis à jour: 11 juillet 2025
Sa muse garda toujours son feu sacré pour ses rois légitimes. Sous le règne de l'usurpateur qui faisait trembler le monde entier, il fit paraître son poème de la Pitié, et rentré en France, il eut le courage, plus rare peut-être, de résister aux feintes caresses d'un pouvoir absolu. Il ne craignit pas de s'exposer
Soyez peintre, et que la muse vous inspire un tableau; Soyez poëte, et que la faim vous dicte un poème; Soyez riche, et éprouvez le besoin de vous ruiner; Soyez pauvre, et veuillez devenir voleur; Croyez-vous que votre tableau, vous, peintre, vous appartiendra? Que votre prose ou vos vers, vous, poëte, vous appartiendront? Que votre fortune, vous, riche, ira où il vous plaira?
Mais il faut qu'ici ma Muse abaisse son vol, De pareils essors sont bien au del
Les Mets simples. Puisque la mode aujourd'hui règne De versifier les menus; Que de par Ozanne on enseigne À faire un vol-au-vent au jus; Puisque la Muse réfractaire Ne veut plus monter aux sommets Et que, gourmande, elle préfère. Mettre en poèmes les grands mets,
Un peu fatigué, je l'avoue, des allures solennelles de la muse tragique, les mouvements rapides, parfois d'une gracieuse brusquerie, de la nymphe des bois, ses attitudes rêveuses, sa naïve et virginale passion, son chaste sourire, sa mélancolie, m'inondèrent d'un torrent de sensations jusqu'alors inconnues.
Ils voulaient la république, sans doute, mais une république de sentiment dont Mme Roland était la Muse. On ne fonde point une forme de gouvernement avec des rêves, ni avec des figures de rhétorique. D'un autre côté, la république n'était alors qu'un idéal; avant de l'atteindre, il fallait repousser l'ennemi, éteindre le foyer de la guerre civile, achever la Révolution, et les Girondins en étaient incapables. Ils se trouvaient donc fatalement entraînés dans une politique d'expédients. De l
Paris. Août 1878. La muse qui jadis de ses yeux l'a privé, Cette muse,
Hauteur, 1 P. 3 p°. 4 lig. Largeur, 11 p°. 2 lig. Cette peinture est une des plus belles, des plus délicates et des plus parfaites qui soient sorties des fouilles de la Campanie. Il semble que le peintre ait voulu employer tout son art et se surpasser lui-même, en représentant sous des traits si aimables cette Muse consacrée
Vixêre fortes ante Agamemnona. Tous deux également nous portons des couronnes; Mais, roi, je les reçois; poète, tu les donnes. Sans le secours soigneux d'une muse fidèle, Pour t'immortaliser tu fais de vains efforts... (
Voici le début de ces vers; ils étaient adressés au prince qui présidait la solennité: Pour une jeune muse absente, Prince, je prendrai soin de vous remercier, Et son âge et son sexe ont de quoi convier A porter jusqu'au ciel sa gloire encor naissante.
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