Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 11 juin 2025
Et votre cerveau sèche et demeure engourdi, Lassé de visions de meurtre et de magie, Et plus aucun vouloir en vous ne resplendit: Et vous mourez tout seuls, un soir, dans une orgie. SOUS LES PR
Un souffle ami hante La vague, et nous chante: «Vous sans espérance, Mourez sans souffrance!» Et puis sous les cieux Qui s'y rient plus clairs, Elle a des airs bleus, Rosés, gris et verts... Plus belle que tous, Meilleure que nous! La «grande ville». Un tas criard de pierres blanches Où rage le soleil comme en pays conquis.
Donc ne mourez pas de joie en apprenant que vous me verrez sept jours de suite, car il est probable que je vous en donnerai sept autres un peu plus tard, si mon tableau me dégoûte au point de me forcer
Nous ne sommes plus ceux que vous auriez cherchés. Mourez
Hélas! hélas! répondit Sancho en sanglotant, ne mourez pas, mon bon seigneur, mais suivez mon conseil, et vivez encore bien des années; car la plus grande folie que puisse faire un homme en cette vie, c'est de se laisser mourir tout bonnement sans que personne le tue, ni sous d'autres coups que ceux de la tristesse. Allons, ne faites point le paresseux, levez-vous de ce lit, et gagnons les champs, vêtus en bergers, comme nous en sommes convenus; peut-être derrière quelque buisson trouverons-nous madame Dulcinée désenchantée
Esvitez ce peril, & s'il faut que l'Enfer Vous donne le repos que le Ciel vous desnie, Courez tout au travers & du feu & du fer, Mourez, mais combatant contre la tyrannie. Je sçay bien, cher amy, que par ces beaux discours Tu me veux destourner d'un dessein legitime; Mais en l'estat funeste où sont reduits mes jours, Je veux que ton bras m'offre
Combeferre prit la parole. Allons, dit-il, il faut avoir un peu de pitié. Savez-vous de quoi il est question ici? Il est question des femmes. Voyons. Y a-t-il des femmes, oui ou non? y a-t-il des enfants, oui ou non? y a-t-il, oui ou non, des mères, qui poussent des berceaux du pied et qui ont des tas de petits autour d'elles? Que celui de vous qui n'a jamais vu le sein d'une nourrice lève la main. Ah! vous voulez vous faire tuer, je le veux aussi, moi qui vous parle, mais je ne veux pas sentir des fantômes de femmes qui se tordent les bras autour de moi. Mourez, soit, mais ne faites pas mourir. Des suicides comme celui qui va s'accomplir ici sont sublimes, mais le suicide est étroit, et ne veut pas d'extension; et dès qu'il touche
Vous accusez les économistes de dire aux prolétaires: «Travaillez ou mourez,» et par opposition, vous voulez que la société proclame le droit au travail, le droit de vivre. Examinons ces trois antithèses, que j'aurais pu multiplier; cela suffira pour reconnaître s'il est possible de ramasser ainsi des dogmes dans des écoles opposées et d'accomplir entre eux une solide alliance.
ODOARD. Vous! FRANCESCA. Croyez-vous donc que celle que vous avez appelée votre amie vous laissera mourir sans rien tenter pour votre défense? ODOARD. Que voulez-vous donc faire? FRANCESCA. Ce que je voudrais qu'un fit pour moi: allez trouver ma cousine, lui écrire, lui dire que vous mourez, lui dire de vous faire vivre! ODOARD. L'infortunée! Que peut elle?
Je pense, dit-il en dissimulant son dépit sous un air enjoué, que vous mourez d'envie de vous moquer de moi avec Diomiditch; c'est l'affaire des jeunes gens de plaire
Mot du Jour
D'autres à la Recherche