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Mis à jour: 9 juin 2025
Dans les quartiers sombres, infects, où, au milieu d'une atmosphère morbide, vivaient entassés une foule de prolétaires déj
Le général Andréossi, nommé gouverneur de la ville, organisa dans chaque faubourg, des municipalités, un comité central des subsistances, et une garde nationale, composée des négocians, des fabricans et de tous les bons citoyens, armés pour contenir les prolétaires et les mauvais sujets.
Il me reparla une autre fois de ces mystérieuses journées de Juin où l'on s'était battu pour briser les fers du prolétariat. Le prolétariat ne me représentait pas quelque chose de bien net. Tem Bossette, Mimi Pachoux et le Pendu étaient-ils des prolétaires? Je les imaginai chargés de chaînes et enfermés dans une cave aux tonneaux vides, parce que, si les tonneaux avaient été pleins, ils n'en seraient pas sortis volontiers. Grand-père s'élançait
Des déclamations applaudies recommandèrent de se défier plus des grands que des prolétaires, des prêtres que des hommes sans foi et sans loi, de la police que des filous, de la gendarmerie que des assassins, des juges que des criminels. Entrons dans les détails des droits qu'on voulut garantir et des institutions destinées
J'aime vos prolétaires, d'abord parce qu'ils sont prolétaires, et puis parce que je crois qu'il y a en eux la semence de la vérité, le germe de la civilisation future. Faites-leur part de tous mes regrets. Dites-leur que je tiens extraordinairement aux étrennes qu'ils ont bien voulu me destiner.
Servius appliqua cette division de la population romaine au service militaire. Avant lui, si les plébéiens combattaient, ce n'était pas dans les rangs de la légion. Mais comme Servius avait fait d'eux des propriétaires et des citoyens, il pouvait aussi en faire des légionnaires. Dorénavant l'armée ne fut plus composée uniquement des hommes des curies; tous les hommes libres, tous ceux du moins qui possédaient quelque chose, en firent partie, et les prolétaires seuls continuèrent
Ma vie dans l'hôtel était rendue non seulement triste parce que je n'y avais pas de relations, mais incommode, parce que Françoise en avait noué de nombreuses. Il peut sembler qu'elles auraient dû nous faciliter bien des choses. C'était tout le contraire. Les prolétaires s'ils avaient quelque peine
Cependant, messieurs, on lui déclare la même guerre; sous vos yeux, on veut une nouvelle révolution sociale, on veut un nouveau déplacement de la propriété, de l'influence, du pouvoir. On a plusieurs fois attaqué directement la propriété, la famille. Quand l'attaque directe a soulevé la réprobation générale, alors sont venues les attaques indirectes; on a dit que la richesse était mal répartie, que les relations entre les prolétaires et les propriétaires étaient mal réglées. On a inventé je ne sais quelle théorie de travailleurs et d'oisifs, pour faire la guerre
En parlant de la «révolution en permanence», il dit que Marx n'a pas voulu la révolution perpétuelle pour la révolution, car il ajoute les mots suivants: «les petits bourgeois veulent clore la révolution aussitôt que possible, mais notre intérêt et notre tâche est de faire la révolution permanente, jusqu'au moment où les classes plus ou moins possédantes seront chassées du pouvoir, où le prolétariat aura conquis le pouvoir et où l'association des prolétaires non seulement dans un seul pays, mais dans tous les pays du monde entier, sera affranchie de toute concurrence et concentrera toutes les forces productives.»
Si des classes riches, où se manifestent ces préoccupations de luxe et ces velléités d'indépendance, nous descendons aux classes laborieuses, les symptômes d'anarchie et de décomposition ne nous paraîtront ni moins nombreux, ni moins tristes. Il est vrai que, soustraites par leur misère même aux calculs des ménages plus fortunés, les petites gens de la ville et des champs se marient plus souvent par convenance personnelle et par simple attraction. En revanche, ces unions sont fréquemment troublées par l'inconduite de la femme ou la brutalité du mari. Que de ménages ouvriers qui affichent le mépris le plus lamentable de la dignité humaine! Que de prolétaires avinés qui crient volontiers: «Mort aux tyrans!» et battent leur femme sans miséricorde! Je ne sais rien de plus triste et de plus cruel que la condition de l'ouvrière obligée de disputer
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