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Mis à jour: 7 juillet 2025


LE ROI LOUIS. Warwick, c'est quelque message pour nous, ou pour toi. LE MESSAGER. Milord ambassadeur, ces lettres sont pour vous: elles vous sont envoyées par votre frère, le marquis Montaigu. (Au roi de France.) Celles-ci s'adressent

PARIS. C'est cet orgueilleux Montaigu, ce banni, qui a tué le cousin de ma bien-aimée, dont le chagrin,

[Note 125: Edme lord Montaigu avoit été envoyé en France en 1628 par la cour d'Angleterre pour s'entendre avec les princes et arranger une conspiration (La Porte, p. 10). Il avoit fait connoissance, par le canal de Buckingam, avec Anne d'Autriche, et lui avoit plu. En 1643 il est son confident (Mottev., t. 2, p. 12, et Monglat, p. 141): Mazarin, pour arriver au ministère «se servit de milord Montaigu, autrefois créature de Châteauneuf, mais qui, depuis sa retraite

Lorsqu'elles s'accostèrent, l'enfant de choeur et le doyen de Montaigu firent volte-face et, la croix toujours en avant, conduisirent les Campinois dans la basilique.

Je ne me souvenais pas d'avoir été malade dans le cours d'une vie longue et occupée, excepté une seule fois au collège de Montaigu, en 1760, la douleur de ne pas obtenir le prix d'histoire me causa une fièvre cérébrale, qui, par bonheur, n'a point altéré mes facultés mnémoniques. Je croyais donc pouvoir

Après la prise de Montaigu, M. de Charette crut qu'il valait mieux se porter tout de suite sur Saint-Fulgent et combattre la division des Sables qui était venue par cette route: elle faisait des ravages horribles, et les habitans demandaient instamment qu'on les délivrât: il insista, et finit par gagner M. de Lescure. Ces messieurs pensèrent que l'attaque de droite suffirait pour disperser le convoi des Mayençais; ils envoyèrent un officier de l'armée de M. de Charette

Mais, si nous en croyons Jean-Jacques, son patron M. de Montaigu était un homme grossier, avare, ignorant et un peu fou . Il dut se séparer de lui, sans pouvoir, dit-il, se faire payer ses appointements. De retour

Chavigny montre ensuite Mazarin s'emparant de la confiance de la reine, grâce aux intrigues de l'Anglais Montaigu, qui avait eu jadis le maniement des affaires du duc de Buckingham près de cette princesse. Il représente le cardinal comme «un esprit inconstant et variable, timide, ambitieux, envieux, plein de soupçons et de défiances, sans ordre et sans règle jusque dans sa maison, voulant faire le métier de tout le monde, ne s'appliquant dans le sien qu'aux choses qu'il ne devrait pas faire, sans secret, sans aucune fermeté ni fidélité pour ses amis, sans foi et sans parole, avare, pipeur dans le jeu, fripon jusque dans les moindres chosesAprès cette sortie violente, il rappelle toutes les fautes du cardinal: le gouvernement du Languedoc et de la citadelle de Montpellier donnés au duc d'Orléans, ceux de Champagne et de Stenay au prince de Condé; sa conduite avec l'abbé de La Rivière, qu'il a comblé d'argent et de biens d'église; son manque de prévoyance et d'habileté

Le père, milord de Montaigu, comme on disoit, resta jusqu'au dernier moment l'ami de la reine-mère; elle alloit le visiter dans son abbaye (Mott., t. 5, p. 18. 1659). Il conserva aussi un grand crédit sur le ministre et sur la cour d'Angleterre. C'est lui qui, en 1660 (Mottev., t. 5, p. 83), veut marier Charles II

LE ROI. Adieu, mon Hector, véritable espoir de Troie. CLARENCE. En signe de ma loyauté, je baise la main de Votre Altesse. LE ROI. Excellent Clarence, que le bonheur t'accompagne. MONTAIGU. Courage, mon prince, je prends congé de vous. OXFORD, baisant la main de Henri. Voil

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