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Mis à jour: 23 juin 2025
Le plumage lustré de satins et de moires, Les corneilles, oiseaux placides et dolents, Parmi les champs d'hiver, que la neige a faits blancs, Apparaissent ainsi que des floraisons noires.
Une fois quelque dix ans peut-être avant sa mort par un midi d'été dont l'ardeur faisait miroiter les moires des étangs, craquer les feuillages des arbres, rutiler la poussière et versait une pluie de flamme sur ces myriades de vastes et hauts kiosques, aux triples étages, qui, s'avoisinant selon les méandres des rues, constituent la capitale Nan-Tchang ainsi que toute grande ville du Céleste-Empire, Tchë-Tang, assis dans la plus fraîche des salles d'honneur de son palais, sur un siège noir incrusté de fleurs de nacre aux liserons d'or neuf, s'accoudait, le menton dans la main, le sceptre sur les genoux.
Adonaï!... Dans les terminaisons latines Des cieux moirés de vert baignent les Fronts vermeils Et tachés du sang pur des célestes poitrines, De grands linges neigeux tombent sur les soleils. Pour ses virginités présentes et futures Elle mord aux fraîcheurs de ta Rémission; Mais plus que les lys d'eau, plus que les confitures Tes pardons sont glacés, ô Reine de Sion.
Recule, écarte-toi, avance, reviens! Voltigez d'une aile heureuse autour de cet homme heureux. O! pheu! pheu! quelle fraîcheur! quelle beauté! O! quel heureux mariage tu contractes pour notre ville! De grands, de grands bonheurs sont l'oeuvre de la race des oiseaux en faveur de cet homme. Accueillons-le par des chants de fiançailles et d'hyménée, lui et la Royauté. Jadis Hèra, dans l'Olympos, fut ainsi conduite par les Moires vers le trône souverain du grand maître des dieux: tel fut leur hyménée. Hymen, ô! hyménée, ô!
Ne demandez pas non plus au paysan de goûter la poésie de son terroir sous quelque forme que ce soit. Ni les jeux de la lumière et de l'ombre dans les frondaisons épaisses, ni les moires argentées qui frissonnent sur les champs d'avoine, ni l'éclat des coquelicots et des bleuets parmi les blés mûrissants ne l'émeuvent.
En automne, saison des belles pourritures, Quand au soir descendant le couchant est en feu, On voit au bas du ciel d'immenses balayures De jaune, de carmin, de vert pomme et de bleu. Les flots traînent ce grand horizon dans leurs moires, Se vêtent de ses tons électriques et faux, Et sur fond de soleil, des barques toutes noires Vont comme des cercueils d'ébène au fil des eaux.
Les yeux sont des bassins d'eau changeante qui dort, Où, parmi des frissons de moires remuées, Appareille une flotte éparse de nuées, Voiles blanches qui vont vers un horizon d'or; Mais parfois certains grands nuages couleur d'encre S'immobilisent comme en quarantaine, au fond De tels beaux yeux de qui l'étiage est profond Et qui portent en eux ces nuages
Les cités, les hameaux, nids semés dans la plaine, Et partout, où se groupe une famille humaine, Un clocher vers le ciel, comme un doigt s'allongeant. Vous verrez dans le golfe, aux bras des promontoires, La mer se diaprer et se gauffrer de moires, Comme un kandjiar turc damasquiné d'argent;
Des moires frissonnaient sur la robe de satin, blanche comme un clair de lune. Emma disparaissait dessous; et il lui semblait que, s
Il hocha sa tête lisse où le jour courut en moires bleues. "Besoin, besoin ... tu sais bien que nous ne comprenons pas l'argent de la même façon. C'est une chose sur laquelle nous ne nous entendons pas. Je te rends cette justice que tu m'as épargné ce sujet de conversation pendant cinq ans."
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