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Mis à jour: 23 juin 2025
Je mis ma main dans la sienne, et c'est ainsi que nous arrivâmes aux ambulances. On avait allumé des torches; les chirurgiens coupaient et sciaient, au milieu de hurlements épouvantables; une odeur fade s'exhalait des linges ensanglantés, tandis que les torches jetaient dans les cuvettes des moires d'un rose sombre.
Ce n'est pas la mer, et, si je ne le savais pas, je le devinerais aux rides du courant, aux sables qu'il entraîne et aux moires épanouies. Le vent non plus n'est pas marin. Il n'a pas le goût du sel, ni la jeunesse de ce qui n'a pas touché la terre. Mais ces larges eaux ne ressemblent point
Mais tout cela était hier, et je veux conter aujourd'hui. Débouchez un jour de mai par l'ancienne route de Paris: la plaine qui entoure Rumilly vous apparaît immense et plate, toute couverte de blés verts, où la houle jette en courant ses moires blanches. Plus loin, une ligne qui serpente, d'oseraies et de peupliers. Quelques tuiles de toits percent de rouge les feuillages. Puis les cinq tourelles bleuâtres du château, la tour blanche de l'église. L
Dans l'aquarium clos songent les actinies, Anémones de mer, sensitives de l'eau; Les moires peu
J'ai beau sur mes habits multiplier velours, moires et satins, j'ai toujours l'air d'un mufle. Il y a l
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La morne Palenquè gît dans les marais verts; A peine entre ses blocs d'herbe haute couverts Entend-on le lézard qui bouge. Ses murs sont obstrués d'arbres au fruit vermeil Où volent, tout moirés par l'ombre et le soleil, De beaux oiseaux de cuivre rouge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comme une mère sombre, et qui, dans sa fierté, Cache sous son manteau son enfant souffleté, L'Egypte au bord du Nil assise Dans sa robe de sable enfonce enveloppés Ses colosses camards
En l'eau tiède des yeux tranquilles combien j'ai Souvent, le soir, plongé mon visage et nagé Dans leur silence, vers une rive inconnue! Mon âme s'y sentait toute légère et nue Et délivrée enfin des pesanteurs du corps. Autour d'elle, pas même un cercle de ces moires Qui dans l'eau, pour un souffle, un éveil de nageoires, S'élargissent comme les sons mourants des cors.
C'était au bord d'un étang jeté en miroir sous des saules, couvert de nénuphars et de lentilles d'eau, coupé de place en place de larges moires blanches, rayons tombés, étalés sur la surface luisante, et que de grandes pattes d'argyronètes rayaient comme avec des pointes de diamant.
Le plumage lustré de satins et de moires, Les corneilles, oiseaux placides et dolents, Parmi les champs d'hiver, que la neige a fait blancs, Apparaissent ainsi que des floraisons noires. L'une marque les longs rameaux d'un chêne ami; Elle est penchée au bout d'une branche tordue, Et, fleur d'encre, prolonge une plainte entendue Par le tranquille écho d'un village endormi.
Il parle lentement, avec une voix étoupée, et cela pendant qu'il pelote et manie et chiffonne, de ses doigts caressants, des satins, dans lesquels il fait courir des moires et des cassures luisantes. Il dit, tout en laissant traîner, comme voluptueusement, la main dans ces étoffes, il dit que c'est l'été, devant les fleurs, qu'il cherche la gamme des tons de ses toilettes, et il se plaint qu'il trouve chez ses clientes une certaine résistance
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