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Mis à jour: 12 juin 2025
L'air libre rend les memes elements partout a l'analyse... et pourtant il y a un air qui donne la sante, un air qui produit la maladie... j'entends l'air qui est sous le ciel, car le miasme concentre dans un endroit clos s'apprecie chimiquement... Vous pouvez donc etre tue ou gueri par une chose infinitesimale, echappant a des instruments qui reconnatraient aisement la millionieme partie de la dose d'arsenic, par exemple, qui ne suffirait pas a vous donner la colique...
Parce que c'est une tempête. Une tempête sait toujours ce qu'elle fait. Pour un chêne foudroyé, que de forêts assainies! La civilisation avait une peste, ce grand vent l'en délivre. Il ne choisit pas assez peut-être. Peut-il faire autrement? Il est chargé d'un si rude balayage! Devant l'horreur du miasme, je comprends la fureur du souffle.
Un géologue célèbre, le comte Keyserling, a, en 1853 (Bull. de la Soc. géolog., 2° série, vol. X, p. 357), suggéré que, de même que de nouvelles maladies causées peut-être par quelque miasme ont apparu et se sont répandues dans le monde, de même des germes d'espèces existantes ont pu être,
De deux choses l'une: ou l'insurrection candiote persistera, ou elle expirera; ou la Crète attisera et continuera son flamboiement superbe, ou elle s'éteindra. Dans le premier cas, ce pays sera un héros; dans le second cas, il sera un martyr. Redoutable complication future. Il faut, tôt ou tard, compter avec les héros, et plus encore avec les martyrs. Les héros triomphent par la vie, les martyrs par la mort. Voyez Baudin. Craignez les spectres. La Crète morte aura l'importunité terrible du sépulcre. Ce sera un miasme de plus dans votre politique. L'Europe aura désormais deux Polognes, l'une au nord, l'autre au midi. L'ordre régnera dans les monts Sphakia comme il règne
Donc la bestialité et l'imbécillité sont aux yeux de M. Zola le fond de l'homme. Son oeuvre nous présente un si prodigieux amas d'êtres idiots ou en proie au «sixième sens» qu'il s'en exhale comme un miasme et une buée d'un fumier, pour la plupart des lecteurs un écoeurement profond, pour d'autres une tristesse noire et pesante. Expliquerons-nous cet étrange parti pris de l'auteur de Pot-Bouille?
Surtout les soirs d'été: la rougeur du couchant Se fond dans le gris bleu des brumes qu'elle teinte D'incendie et de sang; et l'angélus qui tinte Au lointain semble un cri plaintif se rapprochant. Le vent se lève chaud et lourd, un frisson passe Et repasse, toujours plus fort, dans l'épaisseur Toujours plus sombre des hauts chênes, obsesseur, Et s'éparpille, ainsi qu'un miasme, dans l'espace.
Elle dégagea la question, promulgua la vérité, chassa le miasme, assainit le siècle, couronna le peuple. On peut dire qu'elle a créé l'homme une deuxième fois, en lui donnant une seconde âme, le droit.
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